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01 mardi Sep 2020
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13 jeudi Juin 2019
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avocat, combat, droit, harcèlement moral, juges, justice, procédure, rapport de force, réalité, système, victime
Aujourd hui avait encore lieu une audience dans mon affaire « serpent de mer ».
Encore hier l avocat me sollicitait pour peaufiner mon dossier alors que j ai toujours mes séances de kiné pour le dos qui me fatiguent et que j ai toujours à régler les dossiers concernant la disparition de ma mère.
J ai dû faire une mise au point avec lui, parce qu il avait pris un peu trop la confiance et déçu qu il y ait encore un report, s en était pris à moi, alors que je soupçonne que le tribunal mettait une fois de plus a l épreuve ma détermination au cas où j abandonnerai, parce que dans cette juridiction, ils sont très pro employeurs.
Je crois que les arguments développés ont fait mouche. Heureusement il y avait une autre avocate générale. En revanche, mon avocat m a dit -ce que j avais déjà compris- que la Présidente de séance ne m aimait pas 🙄. (Oui j ai fait une demande de suspicion légitime envers tout cet aréopage pour qui la parole de l employeur est d or) et alors, j’en ai le droit ! Et si je l ai fait, c est qu il y avait matière à…
Bref, j ai pu voir les juges compulser les pièces, leurs visages changer, s exprimer, se dire qu il y avait peut-être un loup, anguille sous roche (et j aime mieux vous dire qu on revient de très loin).
Mon avocat qui n était pas spécialiste du pénal, mais plutôt des Prud hommes, a quand même pu mettre en avant que je n avais pas été convoquée régulièrement lors de l entretien « coup de poing » qui était davantage un entretien disciplinaire qu un entretien simple pour me proposer des possibilités de mutation. Donc je n avais pas été convoquée dans les formes par lettre recommandée avec AR cinq jours avant et je n avais pu être assistée d un délégué du personnel.
Il a démontré aussi les mensonges des uns et des autres, les versions contradictoires, toutes les anomalies.
Tout cela bien sûr, je l avais déjà pointé du doigt, mais quand on ne porte pas de robe d avocat, que vous ne vous êtes pas acquittés de ses honoraires monumentaux, que vous refusez ce système édicté par les riches pour les riches, on ne vous écoute pas. Vous n êtes rien qu un grain de sable dans la tourmente. Cette « justice », c est vraiment un monde particulier et réservée aux nantis ! Voilà où nous en sommes avec notre justice en l’an 2019, soit pas loin du Moyen Age.
Bref, alors que l’avocat général précédent s’était opposé à tout recours, subitement en bredouillant, hésitant, cherchant ses mots, l avocate générale a marqué un avis favorable pour qu un complément d information soit fait.
C est une chance que celui de l audience précédente ne soit pas là non plus, car il ne me portait pas visiblement dans son coeur non plus, 😂 mais c est de bonne guerre. Je ne pratiquerai pas la genuflexion devant de tels personnages qui n’écoutent qu un seul son de cloche, celui de ceux qui possèdent de l’argent.
Donc décision finale en septembre pour savoir s il y a un renvoi au juge d instruction pour procéder à un complément d enquête.
Entretemps, j aurais peut être eu le courage, le temps de publier le livre que je consacre à l affaire et qui avance très lentement.
J ai surtout pour l’instant besoin de vacances.
11 samedi Mai 2019
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été, balançoire, balance, chat, Du côté de chez Ma, France Télécom, humour, justice, mensonge, photographie, Pinocchio, procès, Projet 52, puces de saint ouen, silhouette
Je ne sais pourquoi, j’ai tout de suite pensé au poids : est-ce de saison avec les maillots de bain que nous allons bientôt porter dès qu’il fera moins froid ? Et là, nous allons nous sentir coupables en découvrant dans le miroir les bourrelets dus aux agapes de la saison d’hiver.
Mais je n’ai retrouvé dans mes archives que cette photo de Pinocchio sur une balance ancienne découverte aux Puces de Saint-Ouen, on pourrait parler du poids du mensonge.
Cette semaine, j’ai quand même réussi à trouver du temps pour aller assister au procès des dirigeants de France Télécom. J’y suis allée mardi, et j’ai pu assister à leurs déclarations préliminaires. Il faudrait que je vous en fasse tout un article si j’ai le temps.
J’ai trouvé aussi cette carte postale amusante d’un chat avec peut être le poids de la vie sur sa tête, et les galets qui sont aptes à le détendre.
Enfin, il y a cette jolie balançoire dans le jardin d’un hôtel en Charente Maritime.
Vivement les beaux jours qu’on en profite !
C’est ma participation à l’animation de Du côté de chez ma pour cette semaine :
04 samedi Mai 2019
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activité, anthologie, association Rêves, auteurs, écrire, écriture, combat, enfants, Gare d'Austerlitz, justice, lifestyle, livre, maladie, oeuve, projet, Projet 52, statue, Tourisme
Vous allez me dire : mais quel rapport entre cette statue en lave intitulée « l’apporteur de l’espoir » et le thème « écrire » ? je vous explique.
Ces dernières semaines, notre amie Quichottine nous a sollicités à nouveau pour écrire la 6e Anthologie, qui porte sur les métiers improbables. Le livre est actuellement à la relecture.
Comme toujours, j’ai un peu traîné, et j’ai réussi malgré mon deuil et tout ce qui s’en suit à participer. Au total, ce sera 108 auteurs qui ont proposé un texte ou une illustration. (Quichottine est admirable, car durant cette période, elle a perdu, elle aussi, sa fille Emmanuelle).
Cette action dont le point de réunion se trouve sur le blog dédié : http://www.les-anthologies-ephemeres.fr/ ou sur le blog de Quichottine elle-même (https://quichottine.fr) qui relie les informations au cas où nous passerions au travers (on est tous pareils, parfois on n’ouvre pas toutes les newsletters que l’on reçoit, quand elles fonctionnent).
Quand le livre sera finalisé, une « souscription » sera lancée (pour acheter en groupe les livres et pouvoir bénéficier de réductions chez l’éditeur). Les autres années, en partenariat avec l’Association Rêves, nous avons pu réaliser 7 rêves d’enfants malades, dont deux voyages à Los Angeles.
La statue que je vous présente est située devant la Gare d’Austerlitz : elle m’a rappelé le métier « improbable » que j’ai choisi : porteur d’espoir. (pour une première mise en bouche, vous trouverez, ici, la liste de ces métiers improbables : ils sont tous savoureux et on a tellement envie d’en découvrir davantage).
Pour en revenir à la statue, j’ai trouvé les informations suivantes :
Cette statue, sculptée dans un bloc monolithique de lave de Chambois , se trouve à l’entrée de la Gare d’Austerlitz. Elle rend hommage aux ” Brigades Internationales ” qui se sont retrouvées dans cette Gare le 22 octobre 1936 , pour aller combattre en Espagne le fascisme et défendre la République espagnole. Des volontaires venus de tous les pays se sont rassemblés là pour prendre le train. Cette sculpture a été réalisée par le sculpteur Denis Monfleur, né en 1962. Son titre ” L’Apporteur de l’Espoir ” fait référence au roman d’André Malraux ” L’Espoir “, publié en décembre 1937 chez Gallimard.
Vous pouvez en apprendre davantage ici : je n’ai pas vu qu’il y avait d’autres inscriptions sur la statue, mais en fait, je me rendais aux urgences dentaires de la Pitié Salpétrière, donc mon esprit était capté par bien d’autres choses.
Au niveau écriture, ce week-end, il va falloir que je m’occupe de mon dossier juridique maudit. Je dois reprendre le texte de la « Question Prioritaire de Constitutionnalité » relative à l’obligation d’avoir un avocat pour avoir droit à la parole et à la consultation du dossier quand on est partie civile (donc victime) suite à un non-lieu prononcé par un juge d’instruction. Je rappelle que mon avocat me demandait 600 euros TTC pour écrire seulement 9 mots « cette procédure est désormais nulle et non avenue ». De ce fait, j’avais dû demander un renvoi lors de la dernière audience, et à présent, je suis en galère car avec le décès de maman, c’est compliqué de tout gérer (sans parler du problème dentaire). Par exemple, j’ai décidé de ne pas aller à la remise de l’acte de notoriété mardi prochain chez le notaire, or, la clerc de notaire m’a envoyé une procuration que je dois signer et surtout faire authentifier ma signature par la mairie avant le rendez-vous de mardi, rien n’est simple.
Moi qui deviens de plus en plus phobique administrative, je suis servie.
A part cela, il fait frais, très frais, de l’ordre de 9° en dessous des normales saisonnières. Le temps est de plus en plus capricieux, mais cela sent bon l’été et les vacances par moments.
C’était ma participation à l’animation de Du côté de Chez Ma pour cette semaine :
28 dimanche Avr 2019
Posted actu du jour, fleurs, Flower Power, forme, Justice, nature, Ombre et lumière, photographie, santé
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avocat, citations, fleur, forme, humeur, justice, lifestyle, moral, pleurs, problèmes, santé, syndicaliste
De Malcolm de Chazal / Penser par étapes
10 dimanche Mar 2019
Posted Justice, mes combats/mes engagement
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audience, bataille, espoir, harcèlement moral, justice, lifestyle, monde du travail, procès, souffrance
Le temps passant, ce soir, j’ai ré-ouvert mon fameux dossier maudit, parce qu’une audience se profile toujours à l’horizon et que j’ai toujours mon problème d’avocat pendant.
Alors que je m’étais décidée à en contacter un, je m’aperçois que le précédent m’avait adresser un mail que je n’avais pas ouvert, énervée que j’étais quant à son attitude. Curieusement, ce mail est très positif par rapport à mon affaire. Je vous recopie ce qu’il me dit :
« En tout état de cause, sachez que j’ai d’ores et déjà étudié la procédure et que j’ai relevé beaucoup d’éléments sur lesquels il faudra appuyer votre appel.Pour ma part, je considère que le juge d’instruction a davantage tranché comme le juge correctionnel, et ce, alors que son rôle était simplement d’apprécier s’il existe des charges suffisantes pour renvoyer votre affaire en correctionnelle.Le juge de l’instruction n’est pas le juge de la certitude mais celui de la probabilité.Son office consiste a apprécier s’il est possible que vous ayez été victime d’harcèlement moral et, pour ce faire, apprécier s’il existe des charges suffisantes dans le dossier.Or, pour ma part, contrairement à ce qu’il a été retenu dans l’ordonnance dont appel, il me semble évident qu’il existe « des agissements répétés » et que ces derniers ont eu des conséquences sur vos conditions de travail et sur votre santé.Je considère même que vous avez été informée de votre licenciement par le représentant des salariés avant même que votre licenciement vous soit notifié par l’employeur (cela ressort de la tournure du courriel que vous a adressé la personne qui vous a assisté durant l’entretien préalable au licenciement pour vous demander d’écrire un mail pour reconnaître vos torts).Enfin, de mon point de vue, l’instruction a d’ailleurs été faite plus à décharge pour l’employeur qu’à charge et, finalement, tout l’inverse pour vous.Vous pouvez vraiment compter sur moi pour défendre vos intérêts. «
Je dois dire que je suis en état de choc, avec les larmes aux yeux : je me suis tellement battue au cours de ces dernières années pour la défense de mes droits (plus de dix ans maintenant). Après m’être battue contre l’employeur et ses représentants, c’est contre la justice qu’il a fallu que je me batte, car comme le souligne l’avocat, les magistrats ont tout mis en oeuvre pour défendre l’employeur, car dans ma juridiction, un employeur est roi et a droit de vie et de mort sur ses salariés, comme les anciens seigneurs sur leurs sujets.
En recherchant de l’aide pour me défendre, je suis souvent tombée sur des avocats dont le seul intérêt était le fric que l’affaire pourrait leur rapporter immédiatement,donc certains ne me rappelaient pas ou ne me donnaient plus de nouvelles après m’avoir ponctionné des frais de premier rendez-vous.
Combien de nuits j’ai passé à retourner l’affaire dans mon pauvre crâne à me demander si j’avais vraiment commis une erreur. Ayant des connaissances en droit du travail, je savais que je n’avais rien fait de mal, en demandant seulement à mon ex-employeur de revoir l’organisation du travail, et surtout sa répartition, car je me retrouvais avec une charge de travail de 14h par jour (sans parler de ma déqualification). Il me semble que c’était légitime, mais j’avais affaire à quelqu’un qui voulait se venger, je ne sais pas de quoi, peut être parce que j’avais émis seulement le désir de changer de service, on ne sait pas trop ce qui motive les harceleurs. Le problème, c’est que ce sont des gens qui ne sont pas bien dans leurs têtes, ils sont souvent décrits comme peu sûrs d’eux, et ayant le besoin de détruire quelqu’un qui a une meilleure aura.
Donc, voilà, je vais pouvoir reprendre ce dossier de façon plus optimiste.
(notez en passant l’histoire de la déléguée du personnel censée me défendre qui me demandait de reconnaître des torts que je n’avais pas pour faciliter mon licenciement, heureusement que même très malade, je ne l’ai pas fait. Elle a d’ailleurs omis pour la petite histoire de me dire qu’il y avait une proposition de l’employeur pour me garder – ensuite elle a rejoint le camp de l’employeur en témoignant contre moi et même en déposant une main courante disant que je la harcelais, alors que c’était elle qui le faisait, un vrai monde à l’envers).
Il est bon de rappeler que le procès des anciens dirigeants de France Télécom Orange débutera le 6 mai prochain. Ils ne risquent pas grand chose, que des peines avec sursis, cependant il est bon de « traîner » devant la justice des individus qui mettent en danger de façon tout à fait consciente la vie de salariés, tout cela pour accroître les bénéfices de l’entreprise et augmenter leurs propres revenus qui sont déjà très conséquents (voir ici).
19 samedi Jan 2019
Posted Justice, mes combats/mes engagement, psychologie/sociologie, santé
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avocat, calvaire, combat, France, galère, judiciaire, justice, magistrat, moral, partie civile, procédures, système, victime
Je remercie les personnes qui ont envoyé de bonnes ondes, car même si l’avocat avait essayé de me faire imaginer un scénario catastrophe, j’ai eu la confirmation par la Cour d’Appel que l’audience avait été renvoyée au mois de mai.
J’aime mieux vous dire que la justice française par certains côtés n’a pas atteint le siècle des lumières, elle en est plutôt restée à l’ère du néandertal, et dans « néandertal », il y a le mot « néant » !
Elle considère en pénal que les parties civiles, donc les victimes, n’ont pas à intervenir lors des débats pour permettre que ceux ci aient lieu dans la sérénité.
Donc les parties civiles doivent se la boucler et souffrir en silence, alors que pour quiconque a quelques rudiments de psychologie (et les magistrats en sont loin, à ce qu’il me semble), l’important pour les victimes est de parler, de raconter les faits, et donc leurs souffrances. C’est salvateur pour elles !
Or, pour les magistrats, qu’importe ce qu’il advient des victimes : qu’elles souffrent, qu’elles mettent fin à leurs jours peu importe, eux, ils sont là pour prononcer condamnations ou acquittements, donc s’intéressent uniquement aux mis en cause. Et quand la partie civile fait montre de trop d’opiniâtreté, surtout comme pour moi, dans une juridiction où l’employeur est roi, une divinité, des gens fatalement bien en costume et cravates (pourtant faisant par ailleurs l’objet de condamnations pour fraude fiscale, mais qu’importe !), on la roule dans la boue, en interprétant de façon fallacieuse des éléments de dossier, pour finalement renverser la vapeur et dire que c’est elle qui est fautive. Dans mon cas, on a utilisé des espèces de médecins de la mort, prétendu « experts judiciaires », qui ont raconté n’importe quoi, partant de ma vie privée, de ma scolarité, m’inventant une maladie pré-existante qui n’a jamais existé (donc n’est pas prouvée).
J’ai appris récemment qu’il y avait un nom qui caractérise ce phénomène quand la victime pour chercher à faire valoir son préjudice se heurte au système social mis en place, on parle alors de « victimisation secondaire » :
• En 1993, Frema Engel, auteure, conférencière et consultante,
présente la victimisation secondaire et réfère aux :
« (…) conséquences indirectes du crime et, plus particulièrement, à
la douleur et aux blessures psychologiques infligées aux victimes par
l’entourage et par les institutions judiciaires et sociales. Ces blessures
résultent du manque de soutien auquel s’attend la victime de la part
de ses proches, de la communauté, de la société en général. »4
(extrait de ce document)
Comment un jugement peut être être rendu sans prendre en compte réellement du préjudice de la victime qui a droit à indemnisation ?
La seule façon pour ces victimes d’avoir leurs causes exposées, c’est par voie d’un avocat pour qui l’important c’est de se faire du fric, car ces professionnels ont une haute idée de leur métier et considèrent qu’ils doivent gagner beaucoup d’argent, pour leurs standings.
Quand la victime n’a pas beaucoup d’argent à consacrer à sa défense, car cela représente des sommes colossales, à 260 euros HT minimum l’heure, vous avez droit à la portion congrue. Donc les avocats minimisent, et vont au plus facile. Comme en plus, ils n’ont pas obligation de résultat, ils trouveront toujours bien une raison pour expliquer la défaite, surtout qu’ils prennent bien la précaution de tout encaisser avant l’audience, avant même de vous avoir présenter les conclusions finales, là où vous pouvez vous apercevoir qu’il n’a pas assuré, et souvent il s’arrange pour vous les soumettre à quelques jours de l’audience, donc impossible de renverser la tendance.
On prétend qu’il est toujours possible de se plaindre au Bâtonnier, mais en fait le Bâtonnier de l’ordre se fait toujours l’avocat de l’avocat et protège son confrère.
Après cette « victoire » qui n’apporte rien sinon de me donner une nouvelle chance de me faire entendre, je suis au bout de ma vie, je dors, je n’ai plus aucune énergie, j’essaie de reprendre vie.
Je ne souhaite à personne de passer par là, et avec une autre victime, nous avons décidé de nous faire entendre auprès des organismes ad hoc, avec ou sans l’aide d’associations pour que les choses bougent.
Comme vous pouvez le constater, malgré les turbulences de ce début de semaine, auxquelles je ne m’attendais pas, je suis toujours en vie, et plus déterminée que jamais !
16 mercredi Jan 2019
Posted Justice, psychologie/sociologie
inDemain a lieu la fameuse audience : lundi j’ai rédigé la demande de renvoi, hier je suis allée la déposer à la Cour d Appel.
Juste à ce moment l avocat essaie de reprendre contact avec moi. Il veut finalement m accompagner, je lui dis non. Aujourd hui encore échanges houleux.
Il me dit que la Cour d Appel peut refuser le renvoi. Il me
demande à nouveau des pièces pour le cas où il devrait plaider, mais mon dossier n est pas prêt avec le désaccord sur les honoraires et l attente de la réponse du Bâtonnier , c est là le problème.
Bref, je ne sais ce qui va se passer demain, mais envoyez de bonnes ondes.
Croisez les doigts !
20 jeudi Déc 2018
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anniversaire, avocat, droit, fin d année, harcèlement moral, humeur, justice, santé, travail
Onze ans aujourd hui que j ai reçu ma lettre de licenciement après que mon supérieur hiérarchique ait complètement disjoncte après avoir été promu.
Ce jour du 20 decembre 2007, j ai reçu une lettre de licenciement longue et nébuleuse qui noyait le poisson. Normalement, les motifs de licenciement doivent être précis, là c était de la soupe infâme et indigeste.
Je croyais ma guérison possible, pouvoir reprendre une vie professionnelle normale, mais ma santé a continué à se dégrader. Et la procédure de demande d indemnisation judiciaire, elle, a été longue et est loin d être terminée.
Des personnes liées à l affaire ont quitté l entreprise, d autres sont parties à la retraite, d autres sont peut être décédées.
Je ne souhaiterais à personne de passer par là.
Actuellement, je suis aux prises avec un avocat indispensable pour avoir droit à la parole devant une Cour d Appel au pénal et celui-ci bien sûr essaie de profiter de cette nécessité pour m extorquer un maximum d argent.
Donc je passe encore des moments d angoisse difficiles, en essayant de ne pas m effondrer complètement. Encore une mauvaise fin d année, cela ne change pas !
🙄😢
13 vendredi Juil 2018
Posted actu du jour, anecdote, forme, Justice, mes combats/mes engagement
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aide juridictionnelle, avocat, contrariété, demarchages téléphoniques, honoraires, humeur, justice, procès, procédure, système judiciaire
Encore une drôle de découverte avec le fonctionnement judiciaire de notre pays.
J’avais réussi à obtenir un pourcentage d aide juridictionnelle pour m aider pour les frais d avocats au niveau du pénal, car au niveau de cette procédure, il faut absolument un avocat « pour se faire entendre pour les juges » ( ce qui n est pas le principe de la Convention Européenne des Droits de l Homme, mais c est le système français).
J ai eu mon contact en juin avec cette nouvelle avocate, je pensais que l aspect honoraires était géré par le bureau d aide juridictionnelle, mais elle m a appelée aujourd hui pour me parler de sa convention d honoraires et là, c est ‘ »outch! » 😲 et surtout à payer avant l audience fin septembre. Et cette histoire de pourcentage s applique à un système d unité de valeurs qui n a rien avoir avec le montant réel des honoraires.
Donc les histoires d aide juridictionnelle partielle est une vraie fumisterie, un miroir aux alouettes. La seule valable est l aide juridictionnelle totale, sinon les avocats ne se gênent pas pour facturer plein pot. 😟
Résultat : grosse contrariété et mal de tête m empêchant de réfléchir comme je voudrais.
En plus, cela fait plusieurs fois qu elle dit m appeler, mais sans laisser de message ???? C est bizarre quand même. J ai retrouvé traces de ses appels, mais pourquoi n a-t-elle pas laissé de message sur le répondeur me demandant seulement de la rappeler ? Moi quand quelqu’ un m appelle sans laisser de message, je ne rappelle pas, d autant plus que je n avais pas identifié son numéro, et je crains toujours les démarchages commerciaux intempestifs.
D ailleurs, après l avocate, c était « comparatif Freebox » qui m a appelée deux fois à deux heures d intervalle pour me dire que j allais payer moins cher ma Freebox Revolution à 39,90 euros, or j ai une Crystal à 1,99 euros. 🙄 (en promo jusqu’ à septembre, après je chercherai un autre bon plan). Donc j ai vite raccroché sentant encore une embrouille à la clé.
Au passage, j ai dû relancer un créancier qui dit envoyer les chèques en début de mois. Or comme je n avais rien reçu, je relance et ils me répondent que le début du mois pour eux c est le 15 ! Question de point de vue ! 🙄
Voilà je suis bien loin de la frenesie de la Coupe du Monde.
En plus l avocate a le culot de me dire que je peux rédiger moi-même le mémoire, puisque je connais bien l affaire ( et pour cause, je l ai vécue pour mon plus grand malheur), qu elle peut me donner un modèle, je n ai qu’à lui donner 150 euros et elle se dessaisit de l affaire. Donc je me retrouve à nouveau seule sans avocat. Ça fait cher le modèle ! 🙄