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C’est Singapore Airlines qui arrive première, suivie par Air New Zealand et Emirates.
Il me semble qu’il faut quand même aller assez loin pour apprécier leurs services.
Retour sur images au moment où je rentrai de vacances. J’ai fait une étape à Cabourg, et j’ai suivi ensuite la côte normande pour rejoindre Deauville et reprendre l’autoroute vers la région parisienne.
J’avais planifié de dîner à Villers-sur-Mer, mais à plus de 20h tous les restaurants étaient complets en bord de mer. De ce fait, je suis allée plus loin, et je me suis résolue de chercher un endroit sympa sur Deauville.
Ce n’est jamais facile de trouver un restaurant de façon impromptue, souvent on se laisse convaincre par l’ambiance et la carte.
J’ai remarqué la Brasserie Nautica, dont le décor style marin m’a séduite.
Je commençais en fait à avoir sérieusement faim, car je n’avais mangé qu’un sandwich à midi, et un autre la veille au soir.
J’ai été contente de découvrir un menu à 24 euros, qui allait me faire tenir le long de ma route du retour.
Ce restaurant est situé au bord du port de plaisance à mi-chemin entre la gare et le centre ville.
En entrée, j’ai pris des bulots, ils étaient très frais, et bien présentés, mais il y avait un peu de coquilles éclatées :
bon,j’avoue, j’ai fété la fin de mes vacances avec un pommeau, l’alcool de la région (pour mémoire, le pommeau est un alcool apéritif obtenu par l’assemblage de jus de pommes non fermenté et de calvados).
Le plat principal était de la viande avec de la bonne crème de Normandie et une portion généreuse de bonnes frites maison.
En dessert, j’ai choisi une tarte Tatin, accompagnée de son écuelle de crème, on est en Normandie ou on ne l’est pas !
Ce qui m’a plu, c’est l’accueil chaleureux de la responsable, différent de l’accueil laconique des serveurs des autres restaurants m’annonçant qu’il n’y avait plus de place. Il est possible de manger des moules frites à un prix très abordables. J’en avais déjà pas mal mangé au cours de ces vacances, donc j’avais besoin de changer.
et attention que j’apprécie, il m’a été offert un digestif, une manzana, donc à base de pommes. J’étais fin prête pour effectuer la route du retour, et faisant un tour le long du quai pour admirer les illuminations du casino de Deauville :
Je suis partie sans regrets, sachant que la rentrée serait peut être compliquée, avec ce dossier retraite pendant.
Je vous communique les coordonnées du restaurant, à noter sur vos tablettes :
Le Nautica
2 r Désiré Le Hoc
14800 Deauville
Ouvert de 11 h 30 à 23 h (sauf mercredi hors vacances scolaires).
Tél. 02 31 88 03 27.
avec un article très favorable sur Ouest France, ici.
Samedi dernier, alors que je commençais à m’ennuyer ferme devant l’émission, subitement, un miracle se produit, j’ai frissonné devant la performance d’une jeune personne appelée Lucie.
Elle a chanté : « it’s a man’s world » de James Brown, elle a 17 ans et elle a choisi Florent Pagny comme coach. Tous les fauteuils se sont retournés sur sa prestation.
J’ai partagé mon enthousiasme sur Twitter et j’ai eu la chance d’être retweetée par le compte de l’émission, si bien que mon Tweet a buzzé, c’est vraiment ma meilleure performance de likes et de retweets. Je pense que le gif que j’ai joint y a été pour quelques jours. Il paraît que ce chat est celui du dessin animé : Kiki la sorcière.
Il y a eu une autre candidate que j’ai aimé et qui n’a pas été retenue, je n’ai pas compris. Je sais qu’ils ne peuvent pas prendre tout le monde, mais il y a du déchet, et en plus, du déchet de qualité.
Samedi prochain, il n’y aura pas de « The Voice » pour cause de match de foot, mais j’ai lu sur le compte Twitter de Matthieu Grelier, directeur des programmes de ITVstudio, que la prochaine diffusion qui aura lieu donc le samedi 1er avril, ce sera encore plus fort.
Bien sûr, si on m’offrait cette maison, je dirais « oui » tout de suite, mais je la voudrais au bord de la mer.
Ce qui m’amuse avec ces idées de déco, c’est qu’on montre des maisons avec de très grandes ouvertures pour la luminosité, mais en fait, il ne faut pas avoir de voisins trop proches, ni craindre les cambrioleurs dans la vrais vie.
A noter que le site Houzz d’où viennent ces articles offre un bon d’achat de 50 euros à dépenser chez Habitat par tirage au sort parmi les personnes qui auront donné leur avis en commentaires. Une bonne façon de gagner un « cadeau », il me semble !
Moi, j’aime beaucoup le côté bar, très convivial, mais on trouve peu de modèles de ce type de meubles dans les magasins aux tarifs accessibles.
Déjà, l’actrice me plaisait, Marina Foïs, c’est une comédienne qui assure, et vraiment dans ce film elle assure grave, mais grave. Elle fait don de son corps qu’elle nous dévoile généreusement : on la découvre sportive, capable de faire des pompes comme un homme, nullement étonnant qu’elle ait des cuisses d’athlète… mais pourquoi aussi tant de scènes de nu ?
Je m’étais posé la question avec l’histoire qui a ravagé les médias récemment, au sujet de Jean-Marc Morandini et de scènes de nu dans sa fiction-web. Est-ce nécessaire ou cela fait plus vraisemblable ? ceci dit sous la douche, on est bien nu, rarement tout habillé.
Pourquoi suis-je allée voir ce film ? d’abord j’avais remarqué l’affiche, et ensuite le synopsis bien sûr m’a fait tilter (cf Allociné) :
« Sans emploi depuis un an, Constance revient dans sa ville natale quand elle apprend qu’un poste se libère dans l’agence immobilière où elle a démarré sa carrière, mais son ancien patron lui préfère une autre candidate plus jeune. Constance est alors prête à tout pour récupérer la place qu’elle estime être la sienne. »
(cf la fiche du film et les commentaires sur Allociné ici)
C’est le premier film de Sébastien Marnieren tant que réalisateur et il est aussi scénariste du film : mais où a-t-il été chercher cela ? Ce n’est pas facile de parler d’un film sans en dévoiler la fin, les rebondissements.
(d’ailleurs il a vu mon commentaire positif sur Twitter, et j’aime ça, vous le savez bien !) :
Disonsque Marina Foïs dans son rôle de Constance présente certains troubles psychiques non immédiatement décelables : qu’elle pratique le mensonge, la dissimulation avec art… Elle a le secret pour travestir la vérité avec aplomb et même charme.
Elle a du culot, et au fur et à mesure que se déroule le film, avec un certain suspens, car ce film est classé dans la catégorie « drame/ thriller », on comprend quelle en va être l’issue, une issue fatale bien sûr, on le craint, et elle arrive à nous surprendre, au moment où l’on ne s’y attend plus, elle se débarrasse de celle qui lui a ravi le poste qu’elle voulait… dans les dernières images, on comprend que son ex s’en rend compte, et le film s’arrête là en points de suspension, comme si on attendait la suite, un « Irréprochable 2 », où l’on verrait Constance continuer dans ses mensonges, et peut-être réussir qui sait ?
Parmi les comédiens du film, il y Benjamin Biolay, décidément, dans les derniers films que je suis allée voir, il y a toujours Benjamin Biolay : je le croyais auteur, compositeur, mais il est très demandé en tant que comédien, il faut dire qu’il a une « gueule ». Dans son histoire avec Constance, vers la fin on a l’impression qu’on a raté des épisodes, elle arrive encore à nous surprendre. En fait, en plus d’être mytho, elle est un peu schizophrène. Jusqu’où peut-on aller pour avoir un poste, je vous le demande ? certains sont prêts à coucher, on le savait déjà, n’est-ce pas ?
J’ai aimé le charme qu’elle fait à son éventuel futur employeur peu réceptif, c’est presque un monologue, avec beaucoup de non-dits.
C’est à la fin du film que l’on comprend beaucoup de choses, mais pas tout, c’est bien qu’un film sollicite notre imagination, notre intellect pour deviner ce qui s’est vraiment passé.
Certains parlent d’un « César » pour Marina Foïs pour ce rôle, pour moi c’est tout à fait possible, car ce film apporte quelque chose, même s’il défend une théorie que je ne suis pas prête de partager, et vous savez pourquoi, que souvent ce sont ceux qui se plaignent de harcèlement qui sont des harceleurs. Je comprends pourquoi la justice est aussi méfiante, il y a de si bons mystificateurs.
Un film donc, que je conseille, que je recommande.
J’ai eu du mal à trouver un film qui me plaise en ce mois d’août, car il y a un peu de tout, un peu de rien.
Et vous, quel est le dernier film que vous avez vu ?
J’ai encore une place de cinéma à utiliser avant fin août et je me demande quel film je vais bien pouvoir trouver, tout en sachant qu’il y a de nouvelles sorties tous les mercredis. Que me conseillez-vous, si vous avez craqué pour un film récent ?
Comme je n’étais pas très connectée pendant mon absence du mois de juin consacrée à une cure thermale anti-stress, et une petite prolongation bienvenue pour la vraie détente, car une cure est très fatigante. Le matin on se lève en forme, et on revient des soins complètement cassés comme passés dans une machine à laver !
Cet été, j’ai beaucoup profité des cocktails rafraîchissants, pris en fin de journée, à l’orée de la nuit, pour se détendre en terrasse en bord de plage, cocktail que j’ai souvent pris sans alcool, car les cartes des bars en proposent pas mal.
J’ai bien aimé notamment la décoration de celui du restaurant/bar de plage Bugatti à Chatelaillon-Plage (17 – Charente Maritime), pour sa décoration de fleur d’hibiscus, la grandeur du contenant…
Ce cocktail à base de sirop notamment de lavande, grenadine, était intitulé « Peace & Love ».
J’ai aimé aussi la carte de ce restaurant qui proposent aussi pizzas, crêpes… avec un menu à 19,90 euros, avec entrée / plat / dessert.
En entrée, j’ai pris des bulots :
Ayant du mal toujours à choisir du poisson au menu, j’essaie toujours de choisir d’autres produits de la mer, comme des coquillages.
En plat principal des encornets persillés, très joliment présentés sur ardoise, avec légumes et pommes de terre en petite cocotte.
Il restait le dessert que j’ai pris à l’intérieur, car c’était le jour de la demie-finale de l’euro 2016, la France contre l’Allemagne, et j’ai demandé au serveur si je pouvais la voir à l’intérieur. Il m’a installée très aimablement sur une banquette face à l’écran et à ma fraise melba.
La victoire des Bleus nous a tous ravis, avant de chuter devant le Portugal. J’ai pu profiter de la mi-temps pour faire quelques clichés du coucher de soleil.
La décoration de ce restaurant rappelle la Bugatti dont est issu son nom :
C’est une adresse que je recommanderai pour la qualité de sa cuisine, sa situation en bord de mer, l’amabilité de ses serveurs, l’efficacité de leurs services, le prix, la variété de la carte. On a parfois des surprises avec les restaurants en bord de mer qui proposent une belle vue, mais une médiocre qualité de la cuisine dans les assiettes.
Les coordonnées de ce restaurant facile à trouver en bord de plage :
J’étais en train de préparer mon projet article, les photos, et en même temps je regardais la télé, la nouvelle émission de TF1 intitulée « 19Hlive« , un magazine présentant plusieurs sujets avec une équipe de jeunes collaborateurs prometteurs. (compte twitter de l’émission : https://twitter.com/19HLive)
Je sais d’après les audiences que cette émission plaît pas mal, plus de 2 millions de téléspectateurs, et puis, en revenant sur Twitter, je m’aperçois que Nikos Aliagas m’avait posté une petite vidéo de réponse à mon propre tweet.
(je ne sais pas si elle va bien s’afficher sur mon blog, alors qu’elle s’affiche bien sur Facebook et que le lien est prévu pour ça, mais WordPress ne facilite pas la publication de vidéos !).
En fait, si, elle fonctionne, pas en aperçu, mais en publication…
C’est super cette interactivité grâce à la technique. J’ai parlé dans mon tweet de « stratégie », car l’on sait qu’avant les vacances pas mal d’émissions sur cette tranche horaire avaient capoté en raison de la forte concurrence.
Je vous informais que la secrétaire du psychiatre chargé de faire une expertise par Dame Justice depuis maintenant trois ans avait essayé de me joindre vendredi.
J’ai de mon côté essayé de la rappeler pour connaître la teneur du message. Je pensais que c’était seulement pour m’informer qu’enfin, le rapport d’expertise était parti, suite à ma saisine du Procureur Général de la Cour d’Appel auquel j’ai fait part de mon « désappointement » (le mot est faible) face aux délais de la justice française, et même du parti pris de certaines unités comme la police.
J’avais noté qu’il ne fallait plus attendre ce rapport d’expertise.
Or, arrivée à mon rendez-vous, sur le quai du RER, je décide quand même de rappeler l’hôpital, car cela me préoccupait !
La secrétaire me passe directement le médecin qui m’annonce qu’il s’était fait « sonner les cloches » par le juge (on voit que Pâques est passé par là), et que pour rendre son rapport, il aurait besoin de me revoir pour voir l’évolution, et mettre à jour.
De là, je lui signifie que c’était moi qui étais à l’initiative de cette expertise et que je voulais que le lien soit fait entre ma maladie et ce qu’il s’était passé il y a 9 ans, mon agression et l’acharnement de l’employeur. Je lui dis aussi que je faisais une procédure pour délais déraisonnables, car 9 ans cela faisait long.
De là, il me répond : « cela ne me regarde pas vos ennuis judiciaires »… vraiment pourquoi donc intervient-il ?
Alors que le RER faisait un bruit d’enfer derrière moi, en s’arrêtant et démarrant, je me suis dit qu’il serait mal vu que je l’envoie balader. Donc, un nouveau rendez-vous a été pris pour jeudi prochain (moi qui voulais lever le pied cette semaine, c’est mal parti, avec mon rendez-vous demain avec la vice-présidente de l’organisme-bailleur pour mon problème de logement).
Ce type m’avait déjà fortement choquée il y a 3 ans en me disant au début de l’entretien que s’il avait été mon employeur, il m’aurait aussi licenciée… (ensuite il s’est presque excusé quand j’ai réussi à lui expliquer le contexte réel de l’affaire). Quand on voit que le Monsieur ne fait pas son « travail » en trois ans, bloquant mon dossier juridique, je trouve vraiment que c’est l’hôpital qui se fout de la charité ! Je ne suis pas sûr d’avoir bien fait d’accepter, mais je pense qu’il va falloir que je sois ferme, et qu’il comprenne bien que c’est moi qui dirige cette partie du dossier, et qu’il y a préjudice.
Je lui ai dit au passage que j’avais maintenant les pièces du dossier pénal et que mon harcèlement était reconnu et démontré par l’inspection du travail, donc maintenant son avis ne pesait plus dans la balance. Quand je pense que sa collègue en 1ère expertise m’a inventé une vie pour dédouaner l’employeur, ce dont j’ai eu confirmation après notre première entrevue !
Je lui ai brossé l’état actuel de ma santé : jambe cassée, tendinite au bras droit, infection pulmonaire, leucémie… Comme par hasard je me suis casser la jambe à peu près 1 semaine après avoir pris connaissance de toutes les déclarations fabuleuses de mes chers collègues (de merde) !
Je ne vais pas manquer de lui dire que même mon médecin de cure (idem ma psychiatre) me dit que la justice attend que je mette fin à mes jours pour clore le dossier, mais rien que pour cela, je resterai en vie et je compte bien leur rendre la vie très difficile à toute cette bande de tristes sires, guignols en tous genres !
J’espère qu’il ne va pas une nouvelle fois essayer de me retourner le cerveau comme mon employeur a essayé de le faire. J’ai dû d’ailleurs aussi l’exprimer, que son seul but était visiblement de me faire abandonner. Je me souviens que j’ai mis 4 mois à m’en remettre : si jamais il ré-essaie, je crois que cela va mal se passer !
Avais-je vraiment la possibilité de refuser ce rendez-vous ? A votre avis ?
Qu’on le veuille ou non, nous sommes insultés, injuriés ou offensés de temps à autres.
J’aborde ce sujet, car samedi dernier, alors que je discutais dans un groupe Facebook dédié au « harcèlement moral, burn out, souffrance au travail », quand une personne qui faisait d’ailleurs partie des administrateurs de la page est venue me dire « toi, tu es toujours négative, tu ferais bien d’élargir ton horizon ».
Dans ce type de groupe, il est convenu de ne pas juger les personnes en souffrance, mais d’essayer de les aider, et de trouver des solutions. C’est ce que j’ai fait d’ailleurs à de multiples reprises depuis que j’étais inscrite dans ce groupe (2 mois environ), car comme vous le savez j’ai une « grande expérience » dans le domaine (certes, assez négative, mais c’est la réalité, et je me bats encore, et je me bats toujours).
Il faut croire que parce qu’on est administratrice d’un groupe, les règles de bonne conduite ne s’appliquent pas. Evidemment, me sentant insultée, attaquée injustement, j’ai réagi vivement, en demandant à la personne de me présenter des excuses, mais elle devait être aussi dispensée de présenter des excuses, ou ses parents, quand elle était petite, avaient oublié de le lui enseigner.
Résultat des courses, je n’ai pas lâché l’affaire, et elle, voulant avoir le dernier mot, a posté un « minion » qui se tapait la tête contre le sol : comprenant qu’elle me tournait en dérision, je l’ai traitée de « pauvre fille », et en rentrant de mes courses, cette personne m’avait tout simplement virée du groupe. En fait, c’était un chefaillon en jupon, qui avait constitué ce groupe pour avoir de l’autorité sur des personnes, et elle ne tolérait pas les « esprits libres ». Elle devait m’avoir repérée et voulait croiser du fer avec moi : comme d’habitude, les autres autour (des lâches) n’ont pas réagi.
Certes, j’ai manqué de réactivité, j’aurais dû la bloquer dès la première attaque (ce que conseille Facebook et ce que je vais souvent quand je croise un australopithèque qui essaie de me trouver des « noises »), mais je voulais que les autres lisent ma réaction, et l’autre en a profité pour continuer. C’est triste de voir des victimes qui se retrouvent ainsi à se confier à des personnes aussi minables !
Donc, j’ai fait des recherches sur internet et j’ai trouvé cet article qui invite à la réflexion. Moi, je dois dire que je suis un « vif-argent », je réagis vite quand je suis blessée, et quand c’est de façon publique, il faut laver l’injure dans le sang ! Je ne suis pas prête de tendre l’autre jour, surtout que je suis sûre qu’après moi, cette personne s’en prendra à une autre, car elle a certainement au fond d’elle-même un malaise à combler.
Les conseils de l’article que je vous mets en lien sont :
ignorer
fuir
faire semblant d’écouter
comprendre la situation de l’autre
répliquer avec diplomatie
apprendre
affronter
La personne prétendait que ce n’était pas une insulte… car ce mot « négative » ne figurait pas dans son dictionnaire des insultes. Souvent, on considère qu’une insulte est une grossièreté, mais en fait, une insulte est une appréciation qui blesse.
Et vous si on vous avait dit que « vous étiez toujours négatif et que vous devriez élargir votre horizon », vous l’auriez pris comment :
J’ai interrogé les Twittos qui m’ont répondu ceci :
Et vous aussi, comment réagissez-vous dans votre vie quotidienne, face à une attaque inattendue ? savez-vous rester zen, le prendre sous le style d’humour, genre « tu as encore oublié de prendre tes gouttes ! »
Dans la terrible jungle de ce monde moderne, où les compromissions sont légions, et moins encore que par temps de guerre, il est toujours bon de se demander quelle est notre limite de résistance à une proposition de corruption.
Elles sont nombreuses dans le monde professionnel, par exemple, lorsqu’un employeur veut se débarrasser (expression plus édulcorée « se séparer ») d’un salarié, qui si après licenciement riposte aux prud’hommes, se met à chercher à étayer un dossier bien mince en soutirant des attestations complaisantes de salariés bien triés sur le volet -il sait malheureusement à qui il s’adresse- : en leur promettant 5 semaines complémentaires de vacances payées, une promotion, une prime… (cas hélas connus et réels).
Souvent lorsqu’on évoque la seconde guerre mondiale, on se demande aussi ce que nous aurions fait dans ces temps très troublés. On sait que certains en ont profité pour faire du marché noir, voler des oeuvres d’art, acquérir illégitimement des maisons abandonnées… Tout le monde certes ne peut pas faire partie de la résistance.
Pourquoi suis-je dans ces réflexions-là aujourd’hui ? c’est qu’hier on m’a proposé de me « payer » pour retirer un avis négatif que j’ai déposé sur internet sur un site marchand, avis en mon âme et conscience où je préviens d’autres consommateurs éventuels des dangers, les mettant en garde et leur donnant des conseils : avis bien sûr qualifié de « diffamatoire », car tout avis négatif mal accepté par l’autre partie est fatalement « diffamatoire », or, il n’y a pas de diffamation quand il y a vérité (cf l’émission de Julien Courbet « sans aucun doute » et ses avocats). J’ai dû me battre pour que cet avis reste en ligne : il avait été suspendu une heure après que je l’ai posté… Ensuite il m’a été demandé des justificatifs d’achat que j’ai fournis, après ce site (consacré à rassembler des avis des internautes), m’a dit qu’il ne s’agissait pas d’un achat, et sans autre justificatif complémentaire, il serait retiré de la mise en ligne sous 7 jours. J’ai encore envoyé des pièces supplémentaires. J’ai remarqué que mon avis n’était pas en plus noté comme « achat vérifié », alors qu’il l’était… et le site d’évaluation refuse de le faire !
Et comme par hasard lors d’un rendez-vous que j’ai eu hier, bizarrement, il m’a été fait cette proposition : « si vous retirez cet avis, je vous rembourse »… Il m’a vraiment bien regardée et évaluée celui-ci ! Je sais qu’il y a maintenant des contrôles sur les « faux avis sur internet », mais je crois qu’on n’a pas fini de constater des « curiosités » de cette nature. A y réfléchir, j’en ai honte pour celui qui m’a fait cette proposition : certes mon avis fait désordre dans le paysage, mais puisque c’est la vérité vérifiable ?
NON, Monsieur, mon âme n’est pas à vendre !
Ava is an angel, et les anges ne mangent pas de ce pain-là !
Réellement, si on peut parfois s’accommoder avec la « morale », je me détesterai d’accepter d’être ainsi soudoyée, même si je perds de l’argent, et également, jamais de ma vie je n’ai rédigé une quelconque attestation (surtout mensongère) contre un salarié au profit d’un employeur, là aussi, je me serai détestée -d’ailleurs aucun employeur n’a osé m’en demander non plus-. En revanche, j’en ai eu contre moi, et j’ai détesté les auteurs de ces attestations mensongères voulant me faire perdre mon indemnisation, par rapport à un licenciement immérité.
Et vous, avez-vous aussi été confrontés à ce genre de dilemme ? Qu’en pensez-vous globalement ?
(Merci à Pinterest pour ses si belles illustrations -clic sur les images pour voir leurs provenances)