Étiquettes
avis, commande, e comerce, expérience, Facebook, instagram, internet, justice, litige, livraison, méfiance, Répression des Fraudes

01 mardi Sep 2020
Étiquettes
avis, commande, e comerce, expérience, Facebook, instagram, internet, justice, litige, livraison, méfiance, Répression des Fraudes
29 samedi Juil 2017
La nouvelle tombe comme un coup de massue alors que le soleil est enfin revenu sur la région parisienne. TF1 profitant de l’échéance du contrat, arrête l’accès aux replays de MyTF1 pour TF1 et chaînes annexes du groupe pour les abonnés de SFR parce que l’opérateur ne veut pas partager un morceau du gâteau avec lui !
D’après l’article du Parisien, le groupe TF1 espère toucher 100 millions d’euros pour sa prestation au lieu de 10 millions. SFR a refusé de négocier, et voilà la sanction est tombée, plus de replays pour les abonnés de SFR qui au cours des dernières années n’ont pas cessé de voir leurs factures augmenter, surtout depuis la fusion avec Numéricable.
Beaucoup annoncent sur les réseaux sociaux qu’ils vont voir ailleurs. Cependant, ailleurs risque de n’être pas mieux à terme si les autres opérateurs refusent aussi de cracher au bassinet, de payer la nouvelle gabelle, la taxe sur le sel de la vie télévisuelle.
Quand on sait que pour changer d’opérateur internet, il faut payer aussi un droit de résiliation, pourra-t-on le faire vis-à-vis de SFR pour non respect du contrat de vente comme le suggère un internaute, c’est à creuser ? En tout cas, en pleines vacances, un week-end, les réactions sont modérées.
Orange quant à lui a saisi le CSA vis-à-vis de TF1 pour « abus de position dominante ».
Ce qui me choque, c’est qu’il n’y a aucune communication de SFR sur le sujet : rien sur le site, les réseaux sociaux Twitter / Facebook, pas de newsletter, pas de mails. Quand il s’agit de nous solliciter pour payer plus, ils savent le faire.
Je viens d’appeler quand même le service client de SFR, le conseiller n’était pas informé, aucune alerte sur les écrans ! J’ai dû lire le message qui s’affiche à l’écran pour qu’il renvoie dans les hautes instances la notification : « la box de votre opérateur ne vous permet plus d’avoir accès à internet ».
Ce qui est inquiétant, c’est que M6 voudrait aussi utiliser la même méthode, nous ne sommes pas à l’abri de voir encore s’envoler les prix de nos factures pour l’accès à internet, télévision et autres.
En plus, le conseiller me dit qu’on n’aura même pas le droit de résilier le contrat gratuitement, d’après lui, il y aura des décisions prises lundi, puisque nous sommes en plein week-end (info par SMS) et des solutions de remplacement proposées, car regarder la télé sur un écran de téléphone mobile, c’est vraiment spartiate.
Le plus probable option gratuite pour les anciens clients et payante pour les nouveaux, sauf que (je n’ai pas voulu être désagréable), en général SFR gâte davantage ses nouveaux clients que les anciens.
Préparons-nous par conséquent à payer davantage, rectifions nos prévisions budgétaires !
(dans les dernières mises à jour des articles, SFR annonce une opération en justice comme celle d’Orange, car pour eux, les négociations étaient en cours. Encore une bataille juridique à la Une de l’actualité en compagnie de celle « serpent de mer » du pauvre petit Grégory.
a lire sur le sujet :
Télévision : TF1 déclare la guerre à SFR, le replay affecté – Le Parisien
20 mardi Août 2013
Étiquettes
économie, banque, coup de gueule, frais bancaires, frais d'interventions, humour, justice, litige, vie quotidienne
Après la « conne du jour » ici, voici le « gros con », dans la suite logique, car il s’agit de son supérieur hiérarchique.
Je vous avais raconté que devant mes protestations pour l’importance des frais d’intervention facturés par une de mes banques en cas de « découvert même léger », réforme qui est en cours au niveau du Ministère de l’Economie et des Finances, ma directrice d’agence n’avait rien trouvé de mieux que de m’envoyer une lettre m’annonçant la clôture de mon compte dans deux mois, le temps de manoeuvrer pour rapatrier mes finances ailleurs. A l’ouverture du compte, mon conseiller m’avait demandé de bien adresser tous mes revenus dans sa banque, ce que j’avais fait, donc il va falloir que je réagisse.
Résultat depuis début juillet, je jongle pour récupérer mon argent, raison pour laquelle j’ai dû décaler la fête de mon anniversaire en province. En plus, la fameuse directrice fait exprès de me laisser dans les ennuis… un peu perverse en plus sur les bords, la dame. J’ai beau lui exposer les problèmes que cela me pose, elle s’en fiche, et son hiérarchique aussi, côté conseils, je les trouve soudain nullissimes, surtout que jusqu’ici je ne leur avais jamais rien demandé, me débrouillant par moi-même ! En attendant, ils ont encore perçu ce mois-ci 8,50 euros pour frais de tenue de compte, avec une carte bleue qu’ils m’ont bloquée depuis plus d’un mois, et que je paie pour des prunes.
Aujourd’hui, j’ai reçu la réponse du Directeur de Groupe, soit Départemental, de la dame, que j’avais sollicité par mail, son téléphone ne répondant pas.
Bien sûr, il soutient sa subalterne en invoquant un article X alinéa Y des conditions générales de la convention de compte leur permettant de clôturer ledit-compte, et sans explication (bien sûr !).
C’est un peu comme les contrats d’assurances, on ne lit pas tout, on croit que ces conditions générales sont « normales », qu’il n’y a pas de vilain piège, et le jour de l’accident, on s’aperçoit que le risque n’est pas couvert, la petite ligne en bas en italique.
Juste avant de partir en Normandie, j’ai eu le temps d’avertir le Ministère de l’Economie et des Finances pour signaler que les banques risquent d’avoir une « politique d’éviction » des citoyens qui n’ont pas de revenus « top niveau ». J’ai reçu d’ailleurs un accusé réception du Ministère m’annonçant que mon courrier allait être traité.
Selon un article paru sur les Echos (voir ici), les banques vont enregistrer une perte sèche de plusieurs milliards d’euros, avec la limitation de ces frais d’intervention pour protéger les « petits » revenus de leur « rapacité », et risquent donc d’augmenter le taux du crédit accordé pour compenser.
Certes, une fois de plus, j’ai perdu une occasion de me taire, et le fait « d’ouvrir ma grande G… » m’a fait sanctionner.
Quand je vois le peu de cas que fait cette banque de ses clients, je me dis que je ne perds rien au change, c’est un peu comme les entreprises qui vous licencient, le premier choc passé, quelques années plus tard, on se dit qu’on avait à faire à des « cons », qu’ils ne nous méritaient pas, bref qu’on est mieux sans eux, que c’était finalement bien mieux ailleurs !
Bon, je n’ai pas encore toutes les réponses : j’ai sollicité le médiateur, le Président du Directoire, le directeur général… plus le Ministre des Finances.
J’ai essayé de contacter une association de consommateurs, celle spécialisée pour les banques, l’AFUB, mais il faut passer à la caisse, payer une cotisation (68 euros), rien que pour leur parler de votre dossier, sans être sûr qu’ils interviennent.
Il va falloir que je statue vite sur le sujet, car deux mois c’est vite passé, et je ne voudrais pas que mes revenus se retrouvent dans la nature, parce que cette banque aura fermé le compte. C’est toujours un exercice périlleux de faire faire des changements de cette nature à nos contacts, risque possible d’erreur !
Grogne, grogne, grogne !
***
Pour compléter votre connaissance de ce changement dans notre vie quotidienne bancaire, un article intéressant sur rue89.com (http://www.rue89.com/2013/08/02/compte-etait-a-decouvert-faites-payer-banque-244724), qui confirme que ces frais pour les cartes bancaires sont effectivement facturés pour aucune intervention réelle :
« Mais la vraie entourloupe est ailleurs : les banques prélèvent aussi cette commission sur les paiements et retraits effectués par carte bancaire. Or ces derniers sont automatiques et irrévocables, aucun humain n’intervient pour valider ou refuser le paiement.
Conclusion : si on vous a facturé dans ces conditions, votre banque vous a fait payé un service qu’elle ne vous a pas fourni. Je laisse le soin aux juristes de mettre un nom sur cette pratique. »
Sur l’article, vous pourrez voir que l’auteur vous donne d’ailleurs la « méthodologie » pour vous faire rembourser ces frais bancaires indus, sauf que de mon côté, le service relations clientèle de ma banque m’a envoyé une lettre avec plein de décisions de Cour de Cassation donnant d’après elle raison aux banques.
Il suffit d’ailleurs de préparer un dossier pour le juge de proximité, pour obtenir le remboursement et même des dommages-intérêts.
Il est précisé :
« Elle (la banque) vous demande de clôturer votre compte à l’issue du règlement du litige ? Ou souhaite que l’accord ait un caractère confidentiel ? Ces clauses doivent être rémunérées : vous avez été victime d’une facturation abusive, il ne vous appartient pas d’en supporter les conséquences. Un changement de banque entraine des désagréments et vous oblige à faire des démarches. »
***
Ben moi, ils ne m’ont pas demandé de clôturer mon compte, ils s’en sont chargés eux-mêmes et sans « promesse de remboursement », les rats.
Je vais potasser tout cela : j’ai beaucoup de choses à faire, mais ce que je déteste par dessus tout, ce sont les « gens malhonnêtes ».