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Mon beau manoir

~ Une galerie d'art de vivre, un blog lifestyle !

Mon beau manoir

Archives de Tag: harcèlement moral

Aujourd’hui, c’est mon anniversaire…

07 dimanche Août 2022

Posted by Ava in actu du jour, anecdote, écriture, instant T, Justice, lecture, lifestyle, mes combats/mes engagement, psychologie/sociologie

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action, biographie, blog, droit, harcèlement moral, maladie, Mon histoire, partage, publication, santé, société, témoignage, travail, vie d'entreprise

Il n’y a pas de quoi alerter les médias, juste pour vous signaler que je viens d’écrire un post sur mon nouveau blog « En finir avec le harcèlement moral en entreprise ».

Comme je vous l’ai annoncé, je reviens de quelques jours d’escapade, où mon souci principal était de profiter à fond, et je devais rentrer, car j’avais des rendez-vous cette semaine sur Paris.

J’ai tenu à annoncer cet anniversaire et surtout vous prévenir que j’avais écrit un article sur l’autre blog, car il se trouve que ma vie professionnelle et ma vie tout entière ont pris un tournant avec l’atteinte irrémédiable à ma santé, un jour du 7 août. Un très mauvais cadeau reçu du destin et à chaque fois que les années passent et que je dois fêter cet anniversaire, je ne peux m’empêcher d’y penser, surtout que la justice française m’oblige à jouer les prolongations.

J’ai donc commencé à rédiger sur le blog dédié mon histoire. Je la raconte souvent par des bribes, mais une histoire se comprend mieux quand on commence par le commencement. On peut utiliser la technique du cinéma qui consiste à faire des « flash backs », mais souvent on s’y perd.

Donc si vous voulez en savoir davantage, je vous invite à vous rendre sur mon autre blog, et à lire cet article : https://enfiniravecleharcelementmoralautravail.wordpress.com/2022/08/07/mon-histoire-tout-a-commence-le-jour-de-mon-anniversaire/

Bonne lecture !

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Une lueur d espoir au bout du chemin

13 jeudi Juin 2019

Posted by Ava in actu du jour, actualités médias, anecdote, instant T, Justice, mes combats/mes engagement

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avocat, combat, droit, harcèlement moral, juges, justice, procédure, rapport de force, réalité, système, victime

Aujourd hui avait encore lieu une audience dans mon affaire « serpent de mer ».

Encore hier l avocat me sollicitait pour peaufiner mon dossier alors que j ai toujours mes séances de kiné pour le dos qui me fatiguent et que j ai toujours à régler les dossiers concernant la disparition de ma mère.

J ai dû faire une mise au point avec lui, parce qu il avait pris un peu trop la confiance et déçu qu il y ait encore un report, s en était pris à moi, alors que je soupçonne que le tribunal mettait une fois de plus a l épreuve ma détermination au cas où j abandonnerai, parce que dans cette juridiction, ils sont très pro employeurs.

Je crois que les arguments développés ont fait mouche. Heureusement il y avait une autre avocate générale. En revanche, mon avocat m a dit -ce que j avais déjà compris- que la Présidente de séance ne m aimait pas 🙄. (Oui j ai fait une demande de suspicion légitime envers tout cet aréopage pour qui la parole de l employeur est d or) et alors, j’en ai le droit ! Et si je l ai fait, c est qu il y avait matière à…

Bref, j ai pu voir les juges compulser les pièces, leurs visages changer, s exprimer, se dire qu il y avait peut-être un loup, anguille sous roche (et j aime mieux vous dire qu on revient de très loin).

Mon avocat qui n était pas spécialiste du pénal, mais plutôt des Prud hommes, a quand même pu mettre en avant que je n avais pas été convoquée régulièrement lors de l entretien « coup de poing » qui était davantage un entretien disciplinaire qu un entretien simple pour me proposer des possibilités de mutation. Donc je n avais pas été convoquée dans les formes par lettre recommandée avec AR cinq jours avant et je n avais pu être assistée d un délégué du personnel.

Il a démontré aussi les mensonges des uns et des autres, les versions contradictoires, toutes les anomalies.

Tout cela bien sûr, je l avais déjà pointé du doigt, mais quand on ne porte pas de robe d avocat, que vous ne vous êtes pas acquittés de ses honoraires monumentaux, que vous refusez ce système édicté par les riches pour les riches, on ne vous écoute pas. Vous n êtes rien qu un grain de sable dans la tourmente. Cette « justice », c est vraiment un monde particulier et réservée aux nantis ! Voilà où nous en sommes avec notre justice en l’an 2019, soit pas loin du Moyen Age.

Bref, alors que l’avocat général précédent s’était opposé à tout recours, subitement en bredouillant, hésitant, cherchant ses mots, l avocate générale a marqué un avis favorable pour qu un complément d information soit fait.

C est une chance que celui de l audience précédente ne soit pas là non plus, car il ne me portait pas visiblement dans son coeur non plus, 😂 mais c est de bonne guerre. Je ne pratiquerai pas la genuflexion devant de tels personnages qui n’écoutent qu un seul son de cloche, celui de ceux qui possèdent de l’argent.

Donc décision finale en septembre pour savoir s il y a un renvoi au juge d instruction pour procéder à un complément d enquête.

Entretemps, j aurais peut être eu le courage, le temps de publier le livre que je consacre à l affaire et qui avance très lentement.

J ai surtout pour l’instant besoin de vacances.

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Justice : conserver l’espoir coûte que coûte, se battre jusqu’au dernier souffle !

10 dimanche Mar 2019

Posted by Ava in Justice, mes combats/mes engagement

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audience, bataille, espoir, harcèlement moral, justice, lifestyle, monde du travail, procès, souffrance

Le temps passant, ce soir, j’ai ré-ouvert mon fameux dossier maudit, parce qu’une audience se profile toujours à l’horizon et que j’ai toujours mon problème d’avocat pendant.

Alors que je m’étais décidée à en contacter un, je m’aperçois que le précédent m’avait adresser un mail que je n’avais pas ouvert, énervée que j’étais quant à son attitude. Curieusement, ce mail est très positif par rapport à mon affaire. Je vous recopie ce qu’il me dit :

« En tout état de cause, sachez que j’ai d’ores et déjà étudié la procédure et que j’ai relevé beaucoup d’éléments sur lesquels il faudra appuyer votre appel.
Pour ma part, je considère que le juge d’instruction a davantage tranché comme le juge correctionnel, et ce, alors que son rôle était simplement d’apprécier s’il existe des charges suffisantes pour renvoyer votre affaire en correctionnelle.
Le juge de l’instruction n’est pas le juge de la certitude mais celui de la probabilité.
Son office consiste a apprécier s’il est possible que vous ayez été victime d’harcèlement moral et, pour ce faire, apprécier s’il existe des charges suffisantes dans le dossier.
Or, pour ma part, contrairement à ce qu’il a été retenu dans l’ordonnance dont appel, il me semble évident qu’il existe « des agissements répétés » et que ces derniers ont eu des conséquences sur vos conditions de travail et sur votre santé.
Je considère même que vous avez été informée de votre licenciement par le représentant des salariés avant même que votre licenciement vous soit notifié par l’employeur (cela ressort de la tournure du courriel que vous a adressé la personne qui vous a assisté durant l’entretien préalable au licenciement pour vous demander d’écrire un mail pour reconnaître vos torts).
Enfin, de mon point de vue, l’instruction a d’ailleurs été faite plus à décharge pour l’employeur qu’à charge et, finalement, tout l’inverse pour vous.
Vous pouvez vraiment compter sur moi pour défendre vos intérêts. « 

Je dois dire que je suis en état de choc, avec les larmes aux yeux : je me suis tellement battue au cours de ces dernières années pour la défense de mes droits (plus de dix ans maintenant). Après m’être battue contre l’employeur et ses représentants, c’est contre la justice qu’il a fallu que je me batte, car comme le souligne l’avocat, les magistrats ont tout mis en oeuvre pour défendre l’employeur, car dans ma juridiction, un employeur est roi et a droit de vie et de mort sur ses salariés, comme les anciens seigneurs sur leurs sujets.

En recherchant de l’aide pour me défendre, je suis souvent tombée sur des avocats dont le seul intérêt était le fric que l’affaire pourrait leur rapporter immédiatement,donc certains ne me rappelaient pas ou ne me donnaient plus de nouvelles après m’avoir ponctionné des frais de premier rendez-vous.

Combien de nuits j’ai passé à retourner l’affaire dans mon pauvre crâne à me demander si j’avais vraiment commis une erreur. Ayant des connaissances en droit du travail, je savais que je n’avais rien fait de mal, en demandant seulement à mon ex-employeur de revoir l’organisation du travail, et surtout sa répartition, car je me retrouvais avec une charge de travail de 14h par jour (sans parler de ma déqualification). Il me semble que c’était légitime, mais j’avais affaire à quelqu’un qui voulait se venger, je ne sais pas de quoi, peut être parce que j’avais émis seulement le désir de changer de service, on ne sait pas trop ce qui motive les harceleurs. Le problème, c’est que ce sont des gens qui ne sont pas bien dans leurs têtes, ils sont souvent décrits comme peu sûrs d’eux, et ayant le besoin de détruire quelqu’un qui a une meilleure aura.

Donc, voilà, je vais pouvoir reprendre ce dossier de façon plus optimiste.

(notez  en passant l’histoire de la déléguée du personnel censée me défendre qui me demandait de reconnaître des torts que je n’avais pas pour faciliter mon licenciement, heureusement que même très malade, je ne l’ai pas fait. Elle a d’ailleurs omis pour la petite histoire de me dire qu’il y avait une proposition de l’employeur pour me garder – ensuite elle a rejoint le camp de l’employeur en témoignant contre moi et même en déposant une main courante disant que je la harcelais, alors que c’était elle qui le faisait, un vrai monde à l’envers).

Il est bon de rappeler que le procès des anciens dirigeants de France Télécom Orange débutera le 6 mai prochain. Ils ne risquent pas grand chose, que des peines avec sursis, cependant il est bon de « traîner » devant la justice des individus qui mettent en danger de façon tout à fait consciente la vie de salariés, tout cela pour accroître les bénéfices de l’entreprise et augmenter leurs propres revenus qui sont déjà très conséquents (voir ici).

 

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Cela fait onze ans…

20 jeudi Déc 2018

Posted by Ava in actu du jour, actualités médias, anecdote, Justice, mes combats/mes engagement, photographie, région parisienne

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anniversaire, avocat, droit, fin d année, harcèlement moral, humeur, justice, santé, travail

Onze ans aujourd hui que j ai reçu ma lettre de licenciement après que mon supérieur hiérarchique ait complètement disjoncte après avoir été promu.

Ce jour du 20 decembre 2007, j ai reçu une lettre de licenciement longue et nébuleuse qui noyait le poisson. Normalement, les motifs de licenciement doivent être précis, là c était de la soupe infâme et indigeste.

Je croyais ma guérison possible, pouvoir reprendre une vie professionnelle normale, mais ma santé a continué à se dégrader. Et la procédure de demande d indemnisation judiciaire, elle, a été longue et est loin d être terminée.

Des personnes liées à l affaire ont quitté l entreprise, d autres sont parties à la retraite, d autres sont peut être décédées.

Je ne souhaiterais à personne de passer par là.

Actuellement, je suis aux prises avec un avocat indispensable pour avoir droit à la parole devant une Cour d Appel au pénal et celui-ci bien sûr essaie de profiter de cette nécessité pour m extorquer un maximum d argent.

Donc je passe encore des moments d angoisse difficiles, en essayant de ne pas m effondrer complètement. Encore une mauvaise fin d année, cela ne change pas !

🙄😢

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Corporate : un film à voir dénonçant le harcèlement moral pour favoriser des départs sans licenciement

05 mercredi Avr 2017

Posted by Ava in acteur, actualités médias, art, cinéma, film, le mariage, mes combats/mes engagement, psychologie/sociologie

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avant-première, cinéma, Corporate, emploi, entreprise, film, harcèlement moral, Lambert Wilson, management, méthodes, movie, société

Je reviens de l’avant-première du film qui avait lieu au cinéma Gaumont Capucines. Toute l’équipe du film était présent, le producteur, le réalisateur Nicolas Silhol, les comédiens, sauf Stéphane de Groodt, l’auteur de la musique du film, la monteuse.

équipe du film devant l'écran.jpg

(j’aurais dû me mettre plus près de l’écran pour les photos, mais j’ai pensé à mon confort visuel pendant la diffusion du film)

La salle était pleine et bruyante.

La séance a débuté par une petite allocution du réalisateur, et quelques mots des comédiens principaux.

Le sujet m’intéressait, je me demandais comment il allait être traité : le pitch, c’est l’histoire d’une gestionnaire de ressources humaines à qui l’on demande d’appliquer un plan « Ambition 2016 ». Il consiste à susciter des demandes de mobilité de la part de certains salariés ciblés dont l’entreprise veut « se débarrasser », en provoquant leur démission, sauf que voilà, à utiliser des méthodes  peu « catholiques », il y a des oeufs cassés et un salarié « ciblé » se jette de désespoir d’une fenêtre de l’entreprise.

L’atmosphère de l’entreprise se fait lourde, la direction semble soudée, tout se passe par la communication. Cependant au niveau du personnel, il y a des regards, des sous-entendus qui en disent long.

Et survient une inspectrice du travail qui ne s’en laisse pas compter…

Je ne vous en dirai pas plus, car je ne veux pas spoiler l’issue du film. Comme vous le savez, je connais bien (pour mon plus grand malheur), la réalité de ce phénomène en entreprise… sauf que les syndicalistes ont fui le problème, les collègues se sont tus, les inspecteurs du travail ont eu du mal à se saisir du dossier, et la justice met tout en oeuvre pour nier la réalité des faits et différer le plus possible la condamnation de l’employeur, au cas où les victimes abandonneraient leurs plaintes.

A la fin de la projection, des applaudissements nourris ont éclaté dans la salle. Je m’attendais à un débat avec l’équipe du film, mais le réalisateur et certains comédiens attendaient seulement à la sortie de la salle.

En tout cas, le film est bien traité, il y a du suspens quant au dénouement. Ce n’est pas un sujet facile à aborder, mais il concerne tout le monde, car un jour ou l’autre, une société peut racheter la vôtre, de nouveaux dirigeants arrivent et imposent ces méthodes ! Nul n’est à l’abri !

Il serait bon qu’un maximum de personnes le voient, ne serait-ce que pour manifester leur inquiétude de ce phénomène, et cela ouvre les esprits, car cela n’arrive pas qu’aux autres ! Je rappelle que l’affaire des suicides France Telecom/Orange devrait passer en justice au cours de l’année 2017, cela relancera ces méthodes de management dont on se demande comment certains peuvent accepter d’appliquer, mais c’est toute la singularité de la race humaine, que ne ferait-on pas pour l’argent, le pouvoir…

 

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Elle m’avait dit : « il faut être forte »

28 mardi Fév 2017

Posted by Ava in actualités médias, mes combats/mes engagement

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combats, conflits, décision, employeur, engagements, force, forte, harcèlement moral, justice, news, nouvelles, santé, suicide, syndicats, travail, veuve

mais, je viens d’apprendre qu’elle, elle n’a pas résisté !

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J’ai passé encore ma journée à tourner dans ma tête mes soucis juridiques. J’ai décidé de joindre une syndicaliste de mon ex-employeur pour faire le point. Elle me dit :  » il y a des licenciements, des suppressions de poste » : qu’est-ce que j’en ai à faire ? moi j’ai perdu ma santé, mon travail, et je n’ai pas pu retravailler !

Elle m’apprend qu’il y a eu encore deux suicides, un sur Paris, un sur Lyon, et l’un des deux suicidés a laissé une lettre à côté de lui, accusant la société.

Pour le reste, les cas de harcèlement moral, elle me dit : « nous ne savons rien, c’est la loi du silence ». Quand même ne devraient-ils pas, les syndicats, avoir accès au dossier ? L’employeur ne devrait-il pas leur faire un état des dossiers de ce type ?

Pour les attestations mensongères de mes chers ex-collègues : « ils ont peur pour leur emploi »… Ben oui, et de la justice, en ont-ils peur à écrire de leur main qu’ils sont informés des peines qu’ils encourent en cas de fausses déclarations ?

Sur ce, je dis ce que j’ai à dire. Je passe à autre chose, et dans la soirée, je fais une recherche « suicides » sur le moteur de recherche, et là j’apprends grâce à un article rédigé en anglais, qu’il y a reconnaissance du caractère professionnel du suicide pour celui qui s’était défenestré le lendemain où j’ai reçu ma lettre de licenciement.

J’apprends au cours de l’article que c’est sa fille âgée maintenant de 12 ans a obtenu 1 million d’indemnisation de l’état, avec des paiements additionnels et ce, jusqu’à l’âge de 20 ans (décision d’octobre 2016). Je me demandais en lisant l’article, pourquoi sa fille, avant de lire que la maman avait fini elle aussi par se défenestrer en 2012. J’aime mieux vous dire que je suis encore plus dévastée de voir jusqu’où vont ces employeurs meurtriers. Ce n’est plus un meurtre, c’est deux meurtres d’un coup, ça a fait ricoché !

J’ai retrouvé quand même mon sommeil, je m’autorise quelques jours de repos, peut être une petite escapade. Je me suis coincé le dos hier juste d’aller avant mon rendez-vous, je me suis mise sous anti-inflammatoire, pour guérir vite, surtout si je dois porter des bagages pour aller vers le soleil !

Et vous, comment ça va, pour ce dernier jour de février ?

 

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Suicide du cardiologue de Pompidou: un «homicide involontaire»

11 samedi Fév 2017

Posted by Ava in actualités médias, Justice, mes combats/mes engagement, psychologie/sociologie, santé

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affaires, condamnation, enquête, harcèlement moral, inspection du travail, juges, justice, loi, procès, souffrance au travail, suicides

INFO LE FIGARO – L’inspection du travail a conclu à un «homicide involontaire» pour le suicide du Pr Mégnien en décembre 2015. Elle met en cause la..

Source : Suicide du cardiologue de Pompidou: un «homicide involontaire»

C’est quand même incroyable cette concordance des dates : la décision de l’inspection du travail après enquête a été rendue le 9 février, juste le jour où j’envoyais mon courrier de relance concernant mon affaire.  Il paraît que selon certains auteurs, enquêteurs policiers, il n’y a pas de coïncidence !

Sur l’article du Figaro, il est indiqué :

« Après le suicide du Pr Mégnien, l’administration avait voulu rejeter la faute sur les problèmes personnels rencontrés par le médecin, notamment le fait que sa femme vivait à l’étranger, à Boston. Le procédé est rôdé, comme nous l’explique un inspecteur du travail qui n’a pas participé à l’enquête: «C’est un classique des employeurs. Ils utilisent toutes les confidences faites par les salariés à leurs collègues ou à la hiérarchie pour pouvoir dire qu’il s’agissait d’une personne fragile. Ces difficultés sont censées amoindrir les causes du suicide».

Moi, c’est plutôt les experts judiciaires qui ont tenté de m’inventer une vie pour diminuer la responsabilité de l’employeur ! Je viens de dialoguer avec une victime de France Télécom qui me confirme une info que j’avais eu avec une association que le procès de l’affaire des suicides de France Télécom/Orange devrait avoir lieu cette année.

Dans l’affaire du suicide du cardiologue de l’hôpital Pompidou, il est à noter la délclaration faire par un psychiatre :

« La complexité d’un acte suicidaire sur le lieu de travail » ne doit pas être « un prétexte pour occulter la façon dont ce collègue a été objectivement maltraité », écrivait le professeur Bernard Granger, chef de service de psychiatrie à l’AP-HP, quelques jours après le drame dans une lettre ouverte à Martin Hirsch.

Condamnation possible :

Le délit d’homicide involontaire visé par l’article 221-6 du Code Pénal est puni de 3 ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende.

Si jamais le harcelé pète un plomb et tue son harceleur,  c’est l’infraction de violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner visée par l’article 222-7 du Code Pénal, donc Cour d’Assise, peine prévue 15 ans de réclusion criminelle au maximum. Les victimes de faits de harcèlement ne sont même pas logées à la même enseigne.

A lire aussi sur le sujet :

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/01/26/01016-20160126ARTFIG00214-suicide-de-pompidou-la-directrice-siege-a-la-commission-d-enquete.php

http://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/suicide-du-cardiologue-de-l-hopital-georges-pompidou-linspection-du-travail-conclut-a-un-homicide-involontaire_2054877.html

http://www.leparisien.fr/societe/suicide-a-l-hopital-pompidou-j-ai-vu-face-a-moi-un-homme-brise-26-12-2015-5402357.php

http://www.politis.fr/articles/2017/02/suicide-a-lhopital-georges-pompidou-un-homicide-involontaire-selon-linspection-du-travail-36293/

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Journée OFF !

22 jeudi Déc 2016

Posted by Ava in actu du jour, anecdote, forme, mes combats/mes engagement, santé

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avocat, bataille, combat, droit, expert, forme, harcèlement moral, journée, justice, lettre, licenciement, médecin, mes combats, procédure, respect, santé, séquelles

Hier, je n’y étais pas. J’avais un rendez-vous dans la matinée, et au retour, après avoir lutté contre le froid, alors qu’il ne faisait que 6°, ce n’était pas la mort, je me suis glissée sous ma couette et je me suis endormie.

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J’ai beau prendre des tas de complémentaires alimentaires censés de m’aider à lutter contre les microbes et me donner de l’énergie, je suis raplapla.

En plus, en prenant le courrier, j’ai découvert un avis de recommandé, arrivé pile le 20 décembre, le jour où j’ai reçu ma lettre de licenciement, il y a 9 ans. Je me suis dit, on ne me rate décidément pas. J’ai décidé qu’elle ne me gâcherait pas mon Noël, car avec la lutte que j’ai dû mener depuis le mois de septembre, pour la prise en compte de mes protestations quant à la façon dont a été traité mon dossier au pénal, je n’espère même plus rien. Je comprends que la justice ne veut pas reconnaître ses errements avec mon employeur, elle a choisi de fermer les yeux sur ses abus provoquant même des suicides, alors qu’un individu quelconque dans la rue qui commettrait un meurtre serait condamné, lui, il a carte blanche, il peut tuer autant d’employés qu’il le veut, contre des emplois, des recettes fiscales, et certainement bien d’autres avantages occultes.

De toute façon, même en cas de réponse négative, je ferai un recours, jusqu’à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, je les ai prévenus, et c’est certainement la raison pour laquelle ils ont finalement décidé de réexaminer le dossier.

Les experts psy n’ont même pas répondu aux demandes concernant mes séquelles qui existent, vu la forme olympique que j’ai, surtout en hiver. Quel cauchemar de penser que ces spécialistes assermentés puissent rendre des rapports pour nier les droits essentiels d’une victime ! Ils me font vraiment frémir. Et mon médecin traitant qui fait de tout cela une affaire d’argent : décidément pour ces professions libérales ; avocats, médecins, l’argent compte beaucoup, beaucoup trop !

Je pense qu’il va falloir que je m’occupe du dossier maudit entre Noël et Jour de l’An, car en justice, il y a des délais, on m’accorde peu de temps, alors que le dernier spécialiste s’est pris trois ans pour rédiger un rapport que n’importe qui d’autre même non médecin aurait pu rédiger. C’est bizarre d’ailleurs qu’il ait été désigné alors qu’à l’époque il ne figurait même pas sur la liste des spécialistes de la Cour d’Appel, cela sent à plein nez le « complot ». Sa mission était de me faire lâcher prise par tous moyens, mais c’était mal me connaître, l' »éminent spécialiste » n’a pas compris que si j’avais survécu aux attaques de mon employeur et que je n’avais pas mis fin à mes jours comme certains de mes collègues, ce n’est pas lui qui allait réussir à briser ma détermination.

Je verrai cela lundi… Il sera assez temps ! J’ai besoin de repos, encore un rendez-vous demain matin, et après, cocooning intense !

J’ai quelques petits articles à rédiger, j’ai réussi à dépasser mes statistiques de 2014, mais je crois que 2016 sera moins bien que 2015, mais j’ai plus de visites de visiteurs uniques.

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Retour dans la case dépression et anti-dépresseurs

04 samedi Juin 2016

Posted by Ava in actu du jour, forme, mes combats/mes engagement, psychologie/sociologie, santé

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anti-dépresseur, combat, dépression, détresse, effets secondaires, employeur, engagement, expert, harcèlement moral, injustice, juge, justice, lutte, maladie, médecin, procédure, résistance, suicide

Voilà, c’est gagné ! ils n’ont pas eu encore ma peau, ni provoqué mon suicide, ni ne sont arrivés à me faire abandonner la procédure à l’encontre de mon ex-employeur.

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Ils, c’est la justice française et ses représentants : juges d’instruction, greffiers, Procureur de la République, Procureur Général de la Cour d’Appel, enfin, et surtout un gros « big up » à cet expert de pacotille, ce pantin décérébré, ce psychiatre chef de service d’un hôpital qui a mis la bagatelle de 3 ans à rendre son rapport. J’ai découvert en plus, qu’il ne faisait pas partie des experts listés au moment de sa désignation par la juge d’instruction (pourquoi ?).

Il avait fait fort en début d’entretien il y a 3 ans en m’assénant tout de go qu’il aurait été mon employeur, il m’aurait aussi licenciée. Or, selon les termes de la loi, l’avis de la direction départementale du travail et sa démonstration, j’ai bien été victime d’un harcèlement moral, et l’employeur n’aurait jamais dû me licencier. Ensuite, il m’a demandé si j’avais des dettes, je lui ai répondu « comme tout le monde », j’allais de surprise en surprise, et cet « abruti » (excusez-moi de l’expression, mais cela fait tellement de bien, et c’est le terme que j’emploie en pensant à lui), n’arrêtait pas de me parler de son futur rendez-vous, moi, il n’en avait rien à cirer, j’étais un grain de poussière dont il était bien décidé à se débarrasser au plus vite. Alors moi j’ai résisté, j’ai argumenté, j’avais emmené quand même un gros dossier avec moi, je lui ai sorti des pièces. Ronchon, bougon, il s’est presque excusé en disant, ce n’est pas ce qu’ il avait compris. Il a fait mine de prendre note de mon parcours professionnel, j’ai dû réciter mon CV oralement.

La juge lui avait demandé de se faire communiquer le dossier médical du travail, il ne l’avait pas fait avant le rendez-vous. Je l’avais, je le lui ai donné. A aucun moment,il ne m’a demandé l’autorisation de lever son secret professionnel, ce qui était demandé dans son ordre de mission.

Le rendez-vous a dû être reporté une heure plus tard à cause de l’autre rendez-vous à 15h, nous avons repris après. Cela a duré une heure de plus. Le lendemain, je me suis réveillée à 17h, j’étais épuisée, il fallait que je lui communique encore des documents. Je n’ai pu le faire qu’en novembre, je prenais, je reprenais le courrier, je lui ai adressé 19 pièces jointes démontrant les erreurs de l’employeur. Il ‘a fallu 4 mois pour me remettre de cet entretien qui avait relancé mes angoisses, mes insomnies.

Et puis, j’ai attendu, j’ai relancé la juge d’instruction par courrier, no news. J’ai téléphoné à la greffière, qui me disait »je vais voir », elle ne devait pas voir grand chose, ou « cela ne bouge pas, il ne se passe rien »… jusqu’à me dire, « vous me faites perdre mon temps »… Or, 3 ans ont passé, 3 longues années qui valaient bien les minutes de cette femme qui en fait ne faisait rien suite à mes appels, car l’expertise n’était toujours pas rentrée.

Quand j’ai demandé à avoir communication de l’ensemble du dossier, j’ai reçu un CD-rom, et je me suis aperçue qu’il y avait toute une partie de la procédure manquante. Je l’ai notifié par courrier à la juge, posé des questions à la greffière qui me disait que non, le CD-rom était complet, presqu’à me dire que c’est moi qui ne savait me servir de l’informatique, jusqu’à ce que je saisisse leur hiérarchie en novembre 2015 et enfin, que je reçoive fin 2016, l’intégralité des pièces. La police avait retenu pendant 3 ans les PV des auditions réclamées par la juge d’instruction : pourquoi ? 

Quand l’expert subitement, s’étant fait relancé depuis novembre 2015 par courrier, mail, téléphone m’a contactée mi-avril 2016 pour me revoir pour une mise à jour du dossier, je lui ai fait la remarque au téléphone que cela ne faisait que la bagatelle de 3 ans que j’attendais son rapport. Il m’a répondu : » mais je ne suis pas responsable de vos ennuis judiciaires ! ». Dans les 24h qui ont suivi, j’ai décidé de ne pas aller à ce rendez-vous et de demander son dessaisissement, je lui ai envoyé un mail en expliquant les raisons, et l’avisant que je demandais son remplacement. Et bien sûr, comme je le soupçonnais, il a rendu son rapport à la vitesse de l’éclair. Un rapport où une fois de plus, il révèle des éléments de vie privée qui n’ont rien à voir avec le domaine professionnel, et pour lesquels je ne lui ai donné aucune autorisation de production.

Comprenant que je n’allais pas me laisser faire, il reconnaît ma crédibilité et mon préjudice sans procéder à l’évaluation des séquelles, une demande de la juge, tellement ce Monsieur était réticent à reconnaître les dégâts commis par les agissements de l’employeur. Il m’invente même une maladie, prétend que je n’ai pas été bien traitée, et que cela ne peut être fait, car je suis dans le déni de la maladie, bien sûr, non prouvable par une quelconque analyse scientifique objective, telle une prise de sang, un scanner, une radio, une échographie, une IRM (et pour cause !).

Hier, je suis donc allée voir la psychiatre qui m’a suivie tout au long de cette saga. J’espérais qu’elle me fasse une attestation pour contrer les dires de ce Monsieur, et même défendre son diagnostic et son traitement, mais rien. Elle m’a dit que la seule chose à faire était de demander une autre contre-expertise. Je lui ai dit que je n’avais plus confiance, que deux m’avaient suffi, entre la première qui écrivait dans son rapport que j’avais une scolarité « médiocre » et celui-ci qui fait tout pour me dissuader. Il est facile pour moi de démontrer le contraire, avec mes diplômes avec mention.

J’avais écrit à la juge car on n’a que 15 jours pour donner son avis sur les conclusions de l’expertise (une seule page sur 9) que je souhaitais une autre expertise, puis prenant connaissance des 8 autres pages, et du fait qu’il n’y avait pas sur le département d’expert en souffrance au travail, de retirer ces expertises du dossier tout simplement, surtout qu’elles portaient atteinte à ma vie privée (assorties bien sûr de mensonges divers et variés pour essayer de faire de moi une personne asociale, solitaire, inhibée, etc).

Ma psychiatre a trouvé hier que j’étais déprimée, et a décidé de me remettre sous anti-dépresseurs. J’avais arrêté les anti-dépresseurs en 2009/2010, car à l’action des cures thermales… et voilà, le travail, un expert psy déjanté, appartenant peut être au MEDEF, ou aux Francs Maçons, ou à je ne sais quelle caste occulte ou pas, dont la mission était de minorer par tout moyen la responsabilité de l’employeur et de ses commettants, parce que le dossier d’accusation et les preuves sont lourdes, finit par me refaire replonger dans la dépression et la maladie ! Inutile de le dire : JE LES MAUDIS !

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J’ai pris l’anti-dépresseur à la pharmacie, ce n’est pas le même que le premier que j’avais eu (seroplex, considéré d’ailleurs maintenant parmi les médicaments dangereux, cela fait toujours plaisir de le savoir). Il s’agit de Sertraline, il me semble que c’est le Zoloft, encore un générique, de quoi vous perdre.

Je ne sais pas si je vais le prendre… quant je lis la liste des effets indésirables :

  • troubles psychotiques, agressivité, paranoïa, pensées suicidaires…
  • crise cardiaque…
  • diminution des globules blancs, des plaquettes (ce n’est peut être pas compatible avec ma leucémie ?),
  • rêves anormaux terrifiants., comportement suicidaires,
  • crampes musculaires…

J’en passe et des meilleurs… pourquoi donner de tels médicaments qui risquent de provoquer exactement ce qui est craint (suicide) ? 

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Gros coup de gueule du jour : et le statut des victimes en France, on en parle ?

18 lundi Avr 2016

Posted by Ava in actu du jour, anecdote, Justice, mes combats/mes engagement, psychologie/sociologie, santé

≈ 15 Commentaires

Étiquettes

anecdote, avis, considération, coup de gueule, défense, droits, expertise, harcèlement moral, juge, justice, manipulation, médecin, place, société, statut, victime

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Je vous informais que la secrétaire du psychiatre chargé de faire une expertise par Dame Justice depuis maintenant trois ans avait essayé de me joindre vendredi.

J’ai de mon côté essayé de la rappeler pour connaître la teneur du message. Je pensais que c’était seulement pour m’informer qu’enfin, le rapport d’expertise était parti, suite à ma saisine du Procureur Général de la Cour d’Appel auquel j’ai fait part de mon « désappointement » (le mot est faible) face aux délais de la justice française, et même du parti pris de certaines unités comme la police.

J’avais noté qu’il ne fallait plus attendre ce rapport d’expertise.

Or, arrivée à mon rendez-vous, sur le quai du RER, je décide quand même de rappeler l’hôpital, car cela me préoccupait !

La secrétaire me passe directement le médecin qui m’annonce qu’il s’était fait « sonner les cloches » par le juge (on voit que Pâques est passé par là), et que pour rendre son rapport, il aurait besoin de me revoir pour voir l’évolution, et mettre à jour.

De là, je lui signifie que c’était moi qui étais à l’initiative de cette expertise et que je voulais que le lien soit fait entre ma maladie et ce qu’il s’était passé il y a 9 ans, mon agression et l’acharnement de l’employeur.  Je lui dis aussi que je faisais une procédure pour délais déraisonnables, car 9 ans cela faisait long.

De là, il me répond : « cela ne me regarde pas vos ennuis judiciaires »… vraiment pourquoi donc intervient-il ?

Alors que le RER faisait un bruit d’enfer derrière moi, en s’arrêtant et démarrant, je me suis dit qu’il serait mal vu que je l’envoie balader. Donc, un nouveau rendez-vous a été pris pour jeudi prochain (moi qui voulais lever le pied cette semaine, c’est mal parti, avec mon rendez-vous demain avec la vice-présidente de l’organisme-bailleur pour mon problème de logement).

Ce type m’avait déjà fortement choquée il y a 3 ans en me disant au début de l’entretien que s’il avait été mon employeur, il m’aurait aussi licenciée… (ensuite il s’est presque excusé quand j’ai réussi à lui expliquer le contexte réel de l’affaire). Quand on voit que le Monsieur ne fait pas son « travail » en trois ans, bloquant mon dossier juridique, je trouve vraiment que c’est l’hôpital qui se fout de la charité ! Je ne suis pas sûr d’avoir bien fait d’accepter, mais je pense qu’il va falloir que je sois ferme, et qu’il comprenne bien que c’est moi qui dirige cette partie du dossier, et qu’il y a préjudice.

Je lui ai dit au passage que j’avais maintenant les pièces du dossier pénal et que mon harcèlement était reconnu et démontré par l’inspection du travail, donc maintenant son avis ne pesait plus dans la balance. Quand je pense que sa collègue en 1ère expertise m’a inventé une vie pour dédouaner l’employeur, ce dont j’ai eu confirmation après notre première entrevue !

Je lui ai brossé l’état actuel de ma santé : jambe cassée, tendinite au bras droit, infection pulmonaire, leucémie… Comme par hasard je me suis casser la jambe à peu près 1 semaine après avoir pris connaissance de toutes les déclarations fabuleuses de mes chers collègues (de merde) !

Je ne vais pas manquer de lui dire que même mon médecin de cure (idem ma psychiatre) me dit que la justice attend que je mette fin à mes jours pour clore le dossier, mais rien que pour cela, je resterai en vie et je compte bien leur rendre la vie très difficile à toute cette bande de tristes sires, guignols en tous genres !

J’espère qu’il ne va pas une nouvelle fois essayer de me retourner le cerveau comme mon employeur a essayé de le faire. J’ai dû d’ailleurs aussi l’exprimer, que son seul but était visiblement de me faire abandonner. Je me souviens que j’ai mis 4 mois à m’en remettre : si jamais il ré-essaie, je crois que cela va mal se passer !

Avais-je vraiment la possibilité de refuser ce rendez-vous ? A votre avis ?

9387ES

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