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art, artisanat, Calais, dentelle, mode, musée, muséee de la dentelle Calais, patrimoine, photographie, Silent Sunday, travail
28 dimanche Août 2022
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art, artisanat, Calais, dentelle, mode, musée, muséee de la dentelle Calais, patrimoine, photographie, Silent Sunday, travail
07 dimanche Août 2022
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action, biographie, blog, droit, harcèlement moral, maladie, Mon histoire, partage, publication, santé, société, témoignage, travail, vie d'entreprise
Comme je vous l’ai annoncé, je reviens de quelques jours d’escapade, où mon souci principal était de profiter à fond, et je devais rentrer, car j’avais des rendez-vous cette semaine sur Paris.
J’ai tenu à annoncer cet anniversaire et surtout vous prévenir que j’avais écrit un article sur l’autre blog, car il se trouve que ma vie professionnelle et ma vie tout entière ont pris un tournant avec l’atteinte irrémédiable à ma santé, un jour du 7 août. Un très mauvais cadeau reçu du destin et à chaque fois que les années passent et que je dois fêter cet anniversaire, je ne peux m’empêcher d’y penser, surtout que la justice française m’oblige à jouer les prolongations.
J’ai donc commencé à rédiger sur le blog dédié mon histoire. Je la raconte souvent par des bribes, mais une histoire se comprend mieux quand on commence par le commencement. On peut utiliser la technique du cinéma qui consiste à faire des « flash backs », mais souvent on s’y perd.
Donc si vous voulez en savoir davantage, je vous invite à vous rendre sur mon autre blog, et à lire cet article : https://enfiniravecleharcelementmoralautravail.wordpress.com/2022/08/07/mon-histoire-tout-a-commence-le-jour-de-mon-anniversaire/
Bonne lecture !
20 jeudi Déc 2018
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anniversaire, avocat, droit, fin d année, harcèlement moral, humeur, justice, santé, travail
Onze ans aujourd hui que j ai reçu ma lettre de licenciement après que mon supérieur hiérarchique ait complètement disjoncte après avoir été promu.
Ce jour du 20 decembre 2007, j ai reçu une lettre de licenciement longue et nébuleuse qui noyait le poisson. Normalement, les motifs de licenciement doivent être précis, là c était de la soupe infâme et indigeste.
Je croyais ma guérison possible, pouvoir reprendre une vie professionnelle normale, mais ma santé a continué à se dégrader. Et la procédure de demande d indemnisation judiciaire, elle, a été longue et est loin d être terminée.
Des personnes liées à l affaire ont quitté l entreprise, d autres sont parties à la retraite, d autres sont peut être décédées.
Je ne souhaiterais à personne de passer par là.
Actuellement, je suis aux prises avec un avocat indispensable pour avoir droit à la parole devant une Cour d Appel au pénal et celui-ci bien sûr essaie de profiter de cette nécessité pour m extorquer un maximum d argent.
Donc je passe encore des moments d angoisse difficiles, en essayant de ne pas m effondrer complètement. Encore une mauvaise fin d année, cela ne change pas !
🙄😢
21 jeudi Juin 2018
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droit, entreprise, France Télécom, justice, orange, procès, salarié, société, suicides, syndicat, travail
L’affaire aura pris plus de neuf ans, avec les différentes enquêtes à réaliser sur la vague des suicides qu’a connue cette société en 2007 et suivantes. Le Procureur de la République avait décidé de poursuivre la direction de l’époque, mais deux cadres dont la responsabilité avait été mise en cause ont exercé des recours prétendant qu’ils n’étaient pas responsables hiérarchiquement pour certaines des victimes, et même ne les connaissaient même pas.
La Cour de Cassation a rendu un arrêt début juin 2018, estimant que malgré tout, ils devaient être confrontés à la justice dans cette affaire.
Cependant, la charge d’« homicide par imprudence » n’a pas été retenue. A mon sens, étant donné le contexte et considérant un document distribué aux cadres, le système « next » où il était bien question de la possibilité avec les méthodes employées de dépression, et même de suicides, pour ceux qui n’arriveraient pas à accepter la nouvelle organisation, l’employeur envisageait vraiment la possibilité de perte de vies humaines ou d’atteintes graves à la santé. Elle est encore bien gentille avec eux la justice.
Le problème de fond posé par cette affaire est le fait que ce soit un harcèlement « institutionnel », et non un « harcèlement moral individuel », et que la loi ne le prévoit pas. Mais certainement la loi contre le harcèlement moral pourra néanmoins être appliquée.
Que risqueront les personnes mises en cause ? On sait bien que pour les primo-délinquants, et c’est certainement le cas de ces personnes, la justice ne peut émettre que des peines de prison « avec sursis » et que peu de peines, sinon aucune, n’ont été prononcées dans ce domaine par la justice française, à croire qu’un employeur a droit de vie ou de mort sur ses salariés, comme l’avaient autrefois les anciens seigneurs sur leurs vassaux.
Tout autre citoyen, comme ces femmes violentées, brutalisées par leurs maris qui pour se défendre finissent par le tuer, se trouvent poursuivies par la justice et même condamnées à de la prison ferme.
Il semblerait qu’une entreprise quant à elle a le droit de mettre en place des systèmes de déstabilisation organisés à l’égard de ses salariés, des systèmes extrêmement élaborés, souvent avec des cabinets extérieurs, qui enseignent comment pousser à bout un salarié, comment lui supprimer tout travail, ou le travail intéressant, ou lui attribuer des tâches inférieures à son statut, à le mettre à l’écart, ne le convoquant plus à des réunions, le privant d’informations, à faire en sorte qu’au quotidien il se trouve mal. Dans mon ancienne entreprise, un cadre de haut niveau s’était retrouvé avec les stagiaires et son directeur ne lui adressait plus la parole. Une autre se retrouvait dans le local à archives, sans formation à ses nouvelles tâches.
Souvent, malheureusement, les personnes qui sont victimes à titre individuel de ce genre de pratique, sont des personnes très qualifiées et impliquées, qui certainement sans le vouloir ont dû susciter la jalousie larvée d’autres salariés, qui, à leur insu, ont mené un travail de sape auprès de la direction. C’est ce que j’ai pu découvrir avec ahurissement dans ma propre affaire après l’enquête qui a été menée. Que voulez-vous à notre époque les gens pour garder leurs jobs doivent avaler des couleuvres, ils engrangent de la frustration, ils ne disent rien en apparence devant votre réussite, mais leur ressentiment est réel ? Leur but c’est de prendre la place de l’autre, donc parfois, il y a des connivences qui vont intoxiquer l’esprit de la direction, et une personne devient « non grata », la « bête à abattre ».
C’est un peu comme le jeu télévisé de Koh-Lanta : il ne faut pas se mettre trop en avant, ne pas trop réussir, pour aller jusqu’au bout de l’émission, sinon, tôt ou tard on cherchera à vous exclure si vous n’avez pas le collier d’immunité.
Je trouve que dans l’affaire de France Telecom/Orange, l’enquête a pris trop de temps. Certes les suicidés ne sont plus de ce monde, mais le temps a dû sembler long pour les familles qui attendent la reconnaissance de leur préjudice, la perte injuste d’un être cher, qui au tout début a été qualifié de « lâche » sur les réseaux sociaux, avant que l’analyse d’une inspection du travail ne révèle qu’ils ont été poussés à bout par la direction qui entre autres les nommait à des postes sans la formation nécessaire.
Et puis, pendant toutes ces années, d’autres entreprises ont pu utiliser ces mêmes méthodes. Savoir qu’il va y avoir une audience en pénal va peut être maintenant les dissuader, mais combien de victimes auront encore souffert dans l’intervalle ?
J’attire votre attention sur l’interview d’une des parties civiles que je connais via les réseau sociaux et associations : Yves Minguy qui déclare dans un interview à La Voix du Nord (ici) que cela fait seulement 1 an et demi qu’il va mieux, alors qu’il est maintenant en retraite, et que la perspective de se replonger dans toute cette horreur le met extrêmement mal à l’aise. C’est certain 10 ans plus tard, on a pris de la distance avec les faits, mais la souffrance est toujours sous-jacente.
Il est clair que des entreprises aient parfois à supprimer des postes, donc à licencier des salariés, mais des plans sociaux sont prévus pour cela, et un licenciement économique fait toujours moins mal qu’une mise à l’écart pour que le salarié craque, mettant en danger sa vie !
a lire sur le sujet :
https://www.humanite.fr/suicides-correctionnelle-pour-lancien-pdg-de-france-telecom-656923
09 vendredi Mar 2018
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actuaités médias, actualités, économie, DRH, emploi, envoyé spécial, France 2, licenciement, mes combats mes engagements, monde du travail, reportage, signe des temps, télévision, travail, video
J’avais oublié l’émission hier sur France 2, mais heureusement, j’ai vu des échanges sur Twitter, alors j’ai regardé le replay, c’est vraiment édifiant et cela me rappelle tellement ma propre histoire.
Les méthodes employées sont lamentables, et je me demande comment cet homme peut encore se regarder dans la glace. Il dit d’ailleurs qu’il veut arrêter.
A la fin du reportage, on voit aussi que ce monsieur s’est fait lui-même licencier et que sa moralité est décidément très limite.
L’avez-vous vu ? qu’en pensez-vous ?
29 vendredi Sep 2017
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abus, émission, cash investigation, commerce, conditions de travail, Elise Lucet, emploi, France 2, free, Lidl, management, reportage, social, société, souffrance au travail, télévision, travail
Le soir, je n’aime pas particulièrement regarder certains magazines/reportages qui risquent de perturber mon sommeil, mais je n’ai pas été déçue en regardant Cash Investigation, le magazine présenté par Elise Lucet sur France 2, intitulé : « Le Travail, un Univers Impitoyable ».
L’émission a enregistré la plus forte audience jamais atteinte, c’est dire que ce sujet intéresse la population.
Deux sociétés se sont faits prendre dans les feux des projecteurs : Lidl et Free.
Maintenant que les réseaux sociaux existent et que les réactions sont immédiates, cette diffusion a provoqué nombre de réactions et les sociétés ont été interpellées directement.
Chez Free, déjà avant la diffusion du reportage, trois dirigeants de Centre d’Appel ont été limogés.
Chez Lidl, la direction a dit faire des enquêtes suite à ce reportage. On entend entre autres par enregistrement un encadrant dire à son subalterne : « tu vas mourir », en lui promettant mille ennuis.
Il est dénoncé les problèmes de charge dans les entrepôts chez Lidl et chez Free, il est clair qu’il ne fait pas bon de contester, car la responsable des centres d’appels parle de « liquider » les détracteurs, c’est bien loin de son discours, quand elle parle d' »enchantement », une personne qu’on aurait aimé voir interviewée, mais la direction s’y refusait. Le comble, c’est le cas d’une directrice des RH qui a été elle-même licenciée parce qu’elle n’avait pas assez licencié en « faute grave », donc minorant les frais de départ à la charge de l’entreprise, ce qui lui aurait fait perdre 150 000 euros.
Un député, Daniel Labaronne, s’est saisi de l’affaire en demandant une enquête.
En tout cas, je ne me sentais très fière d’être cliente de Lidl et depuis peu de Free.
(Bien sûr, j’aurais adoré qu’un tel reportage soit consacré à mon ex-société, qui avait tellement peur pour son image !).
voir l’émission en intégrale sur youtube : https://www.youtube.com/watch?v=s5uHC6TN2wo
A lire sur le sujet :
02 mardi Mai 2017
Posted forme, photographie, psychologie/sociologie
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conseils, fatigue, Gaston Lagaffe, hamac, humour, lifestyle, mode de vie, photographie, règle, repos, style, travail, vie
Je voulais vous poster ce texte hier, mais j’ai été prise dans une tourmente d’activité. Je trouve qu’il va très bien avec le 1er mai, fête du travail !
- sois infatigable au repos,
- si tu vois quelqu’un qui cherche à se reposer, aide-le.
- Rappelle-toi que le travail est sacré : n’y touche pas !
- Si par hasard tu trouves du travail, avise le bureau des objets trouvés.
- Ce que tu peux éviter de faire, fais-le faire par un autre.
- Si l’envie de travailler te prend, assieds-toi et attends que cela passe.
- Ne te fatigue même pas à tuer le temps, puisqu’il travaille pour toi.
- Si par mégarde tu tues le temps, utilise le temps mort pour ne rien faire.
- Oublie les vieux travaux et laisse les nouveaux devenir vieux.
- Ne reste pas debout lorsque tu peux t’asseoir, ne reste jamais assis lorsque tu peux t’allonger.
- Si tu es victime d’une farce, surtout ne marche pas, reste assis.
- N’écoute pas des histoires à dormir debout.
Merci à Pixabay pour ces belles photos !
01 lundi Mai 2017
Posted actu du jour, fleurs, Flower Power, instant T, nature, photographie
inUn 1er mai sous un ciel un peu opaque après la pluie d’hier… mais le soleil est dans notre coeur avec ce joli poème :
« Cloches naïves du muguet
Carillonnez ! car voici Mai !Sous une averse de lumière,
Les arbres chantent au verger,
Et les graines du potager
Sortent en riant de la terre.Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet !Les yeux brillants, l’âme légère,
Les fillettes s’en vont au bois
Rejoindre les fées qui, déjà,
Dansent en rond sur la bruyère.Carillonnez ! car voici Mai !
Cloches naïves du muguet ! »
Maurice Carême
28 mardi Fév 2017
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combats, conflits, décision, employeur, engagements, force, forte, harcèlement moral, justice, news, nouvelles, santé, suicide, syndicats, travail, veuve
mais, je viens d’apprendre qu’elle, elle n’a pas résisté !
J’ai passé encore ma journée à tourner dans ma tête mes soucis juridiques. J’ai décidé de joindre une syndicaliste de mon ex-employeur pour faire le point. Elle me dit : » il y a des licenciements, des suppressions de poste » : qu’est-ce que j’en ai à faire ? moi j’ai perdu ma santé, mon travail, et je n’ai pas pu retravailler !
Elle m’apprend qu’il y a eu encore deux suicides, un sur Paris, un sur Lyon, et l’un des deux suicidés a laissé une lettre à côté de lui, accusant la société.
Pour le reste, les cas de harcèlement moral, elle me dit : « nous ne savons rien, c’est la loi du silence ». Quand même ne devraient-ils pas, les syndicats, avoir accès au dossier ? L’employeur ne devrait-il pas leur faire un état des dossiers de ce type ?
Pour les attestations mensongères de mes chers ex-collègues : « ils ont peur pour leur emploi »… Ben oui, et de la justice, en ont-ils peur à écrire de leur main qu’ils sont informés des peines qu’ils encourent en cas de fausses déclarations ?
Sur ce, je dis ce que j’ai à dire. Je passe à autre chose, et dans la soirée, je fais une recherche « suicides » sur le moteur de recherche, et là j’apprends grâce à un article rédigé en anglais, qu’il y a reconnaissance du caractère professionnel du suicide pour celui qui s’était défenestré le lendemain où j’ai reçu ma lettre de licenciement.
J’apprends au cours de l’article que c’est sa fille âgée maintenant de 12 ans a obtenu 1 million d’indemnisation de l’état, avec des paiements additionnels et ce, jusqu’à l’âge de 20 ans (décision d’octobre 2016). Je me demandais en lisant l’article, pourquoi sa fille, avant de lire que la maman avait fini elle aussi par se défenestrer en 2012. J’aime mieux vous dire que je suis encore plus dévastée de voir jusqu’où vont ces employeurs meurtriers. Ce n’est plus un meurtre, c’est deux meurtres d’un coup, ça a fait ricoché !
J’ai retrouvé quand même mon sommeil, je m’autorise quelques jours de repos, peut être une petite escapade. Je me suis coincé le dos hier juste d’aller avant mon rendez-vous, je me suis mise sous anti-inflammatoire, pour guérir vite, surtout si je dois porter des bagages pour aller vers le soleil !
Et vous, comment ça va, pour ce dernier jour de février ?
09 vendredi Déc 2016
Posted actu du jour, anecdote, Justice, mes combats/mes engagement
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combats, endurance, engagements, experts, faits, justice, lenteur, médecins, mensonges, monde, reconnaissance, société, travail, vérité, victoire
J’ai mis à profit le fait que je sois à la maison pour essayer de relancer le greffe pour mon dossier « maudit », car no news depuis mon expédition fin octobre pour déposer ma requête en nullité auprès de la Cour d’Appel.
Il m’a fallu trois tentatives, pour réussir à ce qu’elle soit prise en compte, car l’information obtenue du greffe était que mon dossier était bien désormais à la Cour d’Appel. La greffière m’a répondu d’un air pincé et mal aimable après 3 tentatives d’appel auxquelles elle ne répondait pas, elle m’en veut certainement car j’ai dû pointer les carences dans le traitement du dossier.
Je crois qu’ils ont pris ce dossier par dessus la jambe, or il y a eu des suicides et d’autres victimes, et le pénal doit traiter toute atteinte à la vie d’un individu, a fortiori de plusieurs.
Ce n’est pas encore une victoire, mais une avancée vers la victoire. Je suis de bonne foi, je ne mens pas, et à mon avis, la vérité doit toujours triompher, elle est plus forte que tous les mensonges perpétrés par des personnes sans conscience morale, avides, jaloux, cupides.
J’adresse une spéciale dédicace à ces experts psy qui ne déparent pas dans le paysage, qui ne répondent même pas aux questions posées par le Procureur de la République et par la juge d’instruction, pensant que leurs missions étaient de nier par tous moyens la réalité des faits. C’est honteux, c’est minable, c’est indigne de la part de praticiens qui pour exercer leur profession, ont dû prêter le serment d’hipocrate :
Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Quand on a fini de se battre contre son agresseur, c’est contre la justice qu’il faut se battre, qui vous met des bâtons dans les roues, car elle a du mal à reconnaître de tels faits qui font toujours désordre dans le paysage, alors que des solutions auraient été possibles, si les personnes chargées d’intervenir l’avaient fait en temps et en heure.