Blogueuse, un métier en or – Société – Le Figaro – Madame..
Il s’agit des blogueuses mode, surtout. Un article à lire, qui fait rêver, mais il y a peu d’élus !
A noter cette phrase : « Un rythme frénétique en partie imposé par les blogueurs, ces derniers contraignant la presse écrite à entrer dans la danse de l’interactivité pour ne pas couler… »
ce qui peut peut être expliquer le litige entre Le Parisien et la blogueuse « The Parisienne », pour laquelle une pétition de soutien est en ligne. (à ce jour, elle a récolté 2792 signatures, voir ici). Lire spécialement cette partie de l’article : http://madame.lefigaro.fr/societe/strategie-faire-de-son-nom-marque-020914-901459 (on comprend alors l’inquiétude du Parisien, car le blog doit lui faire de l’ombre quelque part, ce qui semble assez incroyable d’ailleurs !).
Je ne suis pas très fan des blogs de mode où les blogueuses en général de jolies jeunes filles se photographient sous toutes les coutures, un peu trop narcissiques il me semble, mais j’ai vu aussi les réactions des lectrices qui ont un besoin d’identification et qui, paraît-il, suivent les indications de marque. La blogueuse sert alors de prescriptrice, ce pour quoi les marques s’intéressent à elle et lui font des propositions, mais ce n’est pas le cas pour toutes.
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Il est question notamment d’une blogueuse Chiara Ferragni, une américaine qui a bien évolué :
« Ce qui était un petit blog il y a cinq ans est aujourd’hui devenu une SARL qui compte 14 collaborateurs. « En 2013, TBS Crew (NDLR : le nom de sa société) a enregistré des bénéfices de 1,2 million d’euros », révèle la blogueuse. Une coquette somme qui l’aide bien sûr à se faire plaisir (Chiara vient tout juste de s’offrir la maison de ses rêves dans le quartier de Los Feliz, à Los Angeles), mais qui permet aussi à la chef d’entreprise de payer ses salariés et d’assumer le loyer de ses bureaux. »
Il est clair que tous ceux qui sont à l’origine de phénomènes de société : ordinateurs, téléphone mobile, informatique peuvent faire fortune, mais seulement quelques-uns.
Je vous laisse lire l’article de Madame Figaro, mais je me dis que tout cela peut s’arrêter du jour au lendemain et que ces personnes ont intérêt d’assurer leurs arrières.