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Canal Saint-Martin, colours, film, movie, Paris, photographe, pic of the day, reflection, shops, tea, weekend reflections, windows
14 samedi Oct 2017
Posted anecdote, decoration, jolie boutique, nature, Paris, photographie, weekend reflections
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05 mercredi Avr 2017
Posted acteur, actualités médias, art, cinéma, film, le mariage, mes combats/mes engagement, psychologie/sociologie
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avant-première, cinéma, Corporate, emploi, entreprise, film, harcèlement moral, Lambert Wilson, management, méthodes, movie, société
Je reviens de l’avant-première du film qui avait lieu au cinéma Gaumont Capucines. Toute l’équipe du film était présent, le producteur, le réalisateur Nicolas Silhol, les comédiens, sauf Stéphane de Groodt, l’auteur de la musique du film, la monteuse.
(j’aurais dû me mettre plus près de l’écran pour les photos, mais j’ai pensé à mon confort visuel pendant la diffusion du film)
La salle était pleine et bruyante.
La séance a débuté par une petite allocution du réalisateur, et quelques mots des comédiens principaux.
Le sujet m’intéressait, je me demandais comment il allait être traité : le pitch, c’est l’histoire d’une gestionnaire de ressources humaines à qui l’on demande d’appliquer un plan « Ambition 2016 ». Il consiste à susciter des demandes de mobilité de la part de certains salariés ciblés dont l’entreprise veut « se débarrasser », en provoquant leur démission, sauf que voilà, à utiliser des méthodes peu « catholiques », il y a des oeufs cassés et un salarié « ciblé » se jette de désespoir d’une fenêtre de l’entreprise.
L’atmosphère de l’entreprise se fait lourde, la direction semble soudée, tout se passe par la communication. Cependant au niveau du personnel, il y a des regards, des sous-entendus qui en disent long.
Et survient une inspectrice du travail qui ne s’en laisse pas compter…
Je ne vous en dirai pas plus, car je ne veux pas spoiler l’issue du film. Comme vous le savez, je connais bien (pour mon plus grand malheur), la réalité de ce phénomène en entreprise… sauf que les syndicalistes ont fui le problème, les collègues se sont tus, les inspecteurs du travail ont eu du mal à se saisir du dossier, et la justice met tout en oeuvre pour nier la réalité des faits et différer le plus possible la condamnation de l’employeur, au cas où les victimes abandonneraient leurs plaintes.
A la fin de la projection, des applaudissements nourris ont éclaté dans la salle. Je m’attendais à un débat avec l’équipe du film, mais le réalisateur et certains comédiens attendaient seulement à la sortie de la salle.
En tout cas, le film est bien traité, il y a du suspens quant au dénouement. Ce n’est pas un sujet facile à aborder, mais il concerne tout le monde, car un jour ou l’autre, une société peut racheter la vôtre, de nouveaux dirigeants arrivent et imposent ces méthodes ! Nul n’est à l’abri !
Il serait bon qu’un maximum de personnes le voient, ne serait-ce que pour manifester leur inquiétude de ce phénomène, et cela ouvre les esprits, car cela n’arrive pas qu’aux autres ! Je rappelle que l’affaire des suicides France Telecom/Orange devrait passer en justice au cours de l’année 2017, cela relancera ces méthodes de management dont on se demande comment certains peuvent accepter d’appliquer, mais c’est toute la singularité de la race humaine, que ne ferait-on pas pour l’argent, le pouvoir…
07 mardi Mar 2017
Posted actualités médias, cinéma
inDimanche soir, ainsi que je l’annonçais, je suis allée voir Lion au cinéma. Ce film avait 7 nominations aux Oscars 2017, mais il n’en a raflé aucun, en concurrence avec « La la Land » et « Moonlight ».
Pourtant, j’ai vraiment aimé ce film, qui est tiré d’une histoire vraie, le récit d’un petit indien qui se perd, et qui se retrouve dans un orphelin. J’ai eu peur qu’il lui arrive pire dans les rues de Calcutta où il s’est égaré.
L’orphelinat a essayé de retrouver sa famille, mais en vain, et c’est une famille australienne qui l’adopte. Devenu grand, le beau jeune homme essaie de retrouver ses racines grâce à Google Earth pour retracer son parcours en train, avec la vitesse du train, la direction.
Pour moi, ce film pose le problème de l’adoption. L’enfant en fait prononçait mal le nom de sa ville d’origine. C’est très à la mode parmi les grandes stars des US d’adopter des enfants d’Afrique et d’hier, mais qui sait si ces enfants n’ont pas été « arrachés » d’une façon ou d’une autre à leur famille.
Même si la famille australienne lui a offert tout l’amour possible, le jeune homme veut quand même retrouver sa maman.
Mo, qui suis assez sensible, je n’ai pas pleuré, j’ai peut être eu les yeux quand même un peu humides. Les paysages indiens, bien qu’enlaidis par la pauvreté, et australiens (les plages), sont magnifiques.
J’ai craqué pour le petit garçon qui joue le rôle avec ses grands yeux noirs. il s’appelle Sunny Pawar. On a envie de le prendre dans ses bras et de le consoler. (voir ici, les chaussures qu’il portait à la cérémonie des Oscars).
Ce film est encore à l’affiche, et je vous le conseille. Je ne sais pas quel prochain film je verrai, en effet, j’ai encore une place de cinéma à utiliser jusqu’à fin mars. J’ai vu la bande annonce d’un film avec Florence Foresti (« de plus belle ») qui sort demain et qui me tenterait bien. Je me méfie un peu, car cette humoriste si appréciée a déjà pas mal joué dans ce qu’il est convenu d’appeler des « navets ».
Le titre du film « Lion » est un peu surprenant, car en français, comme en anglais, il signifie « Lion », mais il a une autre signification en langue hindoue.
Autres articles à lire sur ce film :
https://www.justfocus.fr/cinema/critique-de-lion-grand-oublie-des-oscars.html
10 samedi Sep 2016
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ambiance, bar, Claude Lelouch, Claude Lelouche, Deauville, Festival de Cannes, film, lifestyle, movie, nuit, Oscar, parasols, sunset, weekend reflections, window
Arriving on the Deauville beach while the beach bars are closed, but fortunately a window left open allows to see the reflection of the figures of famous parasols.
This place celebrates American cinema.
It also shows as a filming location of the famous film by Claude Lelouch, ‘a man and a woman’, hence the title of this article on the model of the chorus of the song of the film, saying ‘chabadabada’.
For the record, this film received the Palme d’Or at Cannes in 1966 and the Oscar for the Best Foreign Film and Best Screenplay in 1967.
Arriver sur la plage de Deauville alors que les bars de plage sont fermés, mais heureusement une vitrine restée ouverte permet de voir la réflection des fameux parasols.
Cet endroit fête le cinéma américain.
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04 vendredi Déc 2015
Posted actualités médias, anecdote, animaux, cinéma, weekly photo challenge
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animal, cat, challenge, Disney, eye, film, movie, photography, spy, The daily post, weekly photo challenge
An interesting subject which consists in staging an eye, and this theme proposed for this weekend by The Daily Post, made me remind this picture taken on the occasion of a stroll in my city. Cats are curious, have a captivating look, and it’s impossible not to connect with this Disney movie « That darn cat ». I moreover found a copy on the net.
Un sujet intéressant qui consiste à mettre en scène un oeil, et ce thème proposé pour ce week-end par The Daily Post, m’a fait rappeler ce cliché pris à l’occasion d’une balade dans ma ville. Les chats sont curieux ont un regard envoûtant, et impossible de ne pas relier à ce film de Disney « L’espion aux pattes de velours ». J’en ai d’ailleurs retrouver une copie sur le net que je partage avec vous.
16 vendredi Mai 2014
Posted cinéma, jolie boutique, looks, Paris, photographie, weekend reflections
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fancy dress, fun, movie, Paris, party, photography, powers, reflections, shop, store, Superman, week end, Wonder woman
Who needs their great powers? Maybe I shall do well to ask to help me in some of my inquiries…
I took this photo this day, in a fancy dress store: yes, to see my last articles, it is my hobby these days, envies to party certainly, and it’s not the end !
Qui a besoin de leurs super pouvoirs ? peut être ferai-je bien de leur demander de m’aider dans certaines de mes enquêtes…
J’ai pris cette photo ce jour, dans un magasin de déguisements : oui, à en voir mes derniers articles, c’est ma marotte ces temps-ci, envie de faire la fête certainement, et ce n’est pas fini…
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