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Etat, fatigue, forme, humour, inspiration, Jouet, peluche, santé, Silent Sunday, vitrine
04 dimanche Fév 2018
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Etat, fatigue, forme, humour, inspiration, Jouet, peluche, santé, Silent Sunday, vitrine
07 mardi Juin 2016
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administration, courrier, difficultés, dossier, Etat, fonctionnaires, Hitler, humeur, mollesse, moral, ravages
C’était un lundi noir, les taupes de l’administration ont encore fait des ravages.
Il est 1 heure du matin. Depuis que je suis rentrée, j’écris des courriers pour pallier aux nouvelles excentricités de ces agents qui vous promettent des paiements qui n’arrivent pas, pour finir par vous dire que votre dossier n’a toujours pas été traité, donc que vous ne serez pas payée avant une dizaine de jours… que vous ayez une cure thermale prévue, ils s’en battent les couettes, vous n’avez qu’à demander à quelqu’un de vous prêter de l’argent, mais à qui ? même les banques ne prêtent plus !
et quand vous protestez parce qu’on ne vous annonce qu’un acompte, ils vous disent « c’est ça ou il vous faudra attendre début juillet, le prochain versement »… Hitler n’est pas mort, il vit au travers de certains d’entre nous… alors j’ai fait une parade, et ces gens qui racontent n’importe quoi vont se prendre une belle lame de fond en retour, cela va rafraîchir leurs esprits, rendre de l’agilité à leurs doigts et à leurs gambettes !
04 lundi Avr 2016
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aides, assistantes sociales, économie, carence, débat, délais, délaissés, dispositif, Etat, expulsions, finances, Fondation Abbé Pierre, injustice, justice, logement, misère, monde, problèmes. dossiers, procédure, recherche, société
À quelques jours de la fin de la trêve hivernale des expulsions locatives, rien ne permet d’espérer une prise de conscience des pouvoirs publics pour éviter la poursuite de ce fléau social.
Source : Expulsions : la Fondation dénonce un Etat défaillant. | Fondation Abbé Pierre
Et ce n’est pas moi qui dirai le contraire : un dispositif est mis en place, mais les délais ne correspondent pas : deux mois pour « le commandement de quitter les lieux », quatre mois pour obtenir une audience auprès du JEX pour obtenir des délais, et six mois maximum pour avoir une réponse de la Commission Dalo, c’est-à-dire qu’on a toutes les chances de se retrouver à la rue, car le délai de congé est plus rapide que l’intervention des instances de barrage.
J’en suis à la saisie de la commission Dalo, mais comme il faut se faire accréditer par un travailleur social ou une association, il faut que je consulte.
J’ai trouvé quand même l’existence d’assistantes sociales qui s’occupent spécialement des victimes d’infractions pénales, et comme c’est mon cas, harcèlement moral perpétré par l’employeur et ses commettants reconnu par la Direction de l’Inspection du Travail, je pense que ces personnes seront plus à même que les assistantes sociales de ma commune qui ne comprennent pas grand chose à ma situation.
Bien sûr, toutes ces situations sont souvent motivées par une perte d’emploi, et les galères qui s’ensuivent, surtout quand on perd la santé en prime suite à des faits répétés de maltraitance.
Donc, j’avance petit à petit. J’ai refusé une sortie aujourd’hui pour pouvoir m’occuper de ce dossier.
Moi qui supporte de moins en moins la paperasse, du genre « phobie administrative », je suis servie.
Bien sûr, j’ai appelé la Cour d’Appel pour savoir où en était mon dossier auprès du Procureur Général : il est toujours entre les mains du magistrat. Cela fait deux mois, pour une procédure de délocalisation pour délais déraisonnables, je trouve que cela fait beaucoup. Et les personnes qui répondent au téléphone, ne sont pas toujours très informée du genre : « je ne sais pas ce que c’est… ah si c’est urgent ! ». Ben oui, c’est urgent, justement les délais sont devenus déraisonnables. Je ne crois quand même pas qu’il bloque mon dossier volontairement, je vais faire une relance écrite, ou je vais encore devoir activer mes conseillers pour savoir ce qu’il faut faire en pareil cas ! IL s’agit juste de confier le dossier à une autre juridiction, et là aussi, aucune réponse, rien le vide, le néant !
Il est bien curieux notre monde…
22 lundi Fév 2016
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action, article, démarches, droit, Etat, faits de société, forme, France, informations, journal, justice, Prud'hommes, réalité, retard, salaréis, santé, travail, tribunaux, vacances
On voit que toutes les zones scolaires sont en vacances, pas beaucoup d’activité sur le net: entre ceux qui sont au ski, dont les stations sont remplies à 90 % et les habitants du sud qui ont eu droit à un soleil exceptionnel, jusqu’à même se baigner.
Nous sur la région parisienne, nous étions sous une bonne grisaille, un vrai bonheur.
Mon bras droit va un peu mieux, alors je peux continuer à écrire mon livre, morceau après morceau.
J’ai eu une information intéressante aujourd’hui au sujet de salariés justement qui se plaignaient des délais déraisonnables de la justice et qui assignaient l’Etat pour les retards importants : c’est ce qu’il m’a été conseillé aussi !
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Prud’hommes : des salariés assignent l’État français en justice
C’est quand même le gros chaos !
Moi ce n’est pas au niveau des Prud’hommes que je me plains, mais au niveau du Pénal, qui pédale à côté de la bicyclette… Je suis décidément dans l’air du temps. On m’a dit un jour sur une analyse psychologique que je possédais en moi la logique interne des événements, ces affaires ont été traitées le 10 février dernier.
Je pense que nous payons trop d’impôts pour avoir cette justice de pacotille, alors que les pervers pullulent dans le monde du travail.
Enfin, moi, cela me conforte dans mes convictions et mes démarches actuelles, je suis sur le bon chemin (même avec ma jambe plâtrée).
A lire aussi sur le sujet :
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/face-aux-delais-des-prud-hommes-beaucoup-de-salaries-renoncent-a-leurs-droits_1762439.html
http://lci.tf1.fr/france/justice/prud-hommes-l-etat-poursuivi-pour-deni-de-justice-8714758.html
03 dimanche Jan 2016
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abus, avocats, conseil, Etat, experts, forme, juge, justice, maladie, motivation, moyens, organisation, police, responsabilité, sommeil, turbulences
Je rentre à nouveau dans une zone de turbulences au niveau juridique. J’ai utilisé cette période de vacances de Noël pour me reposer, pour recharger mes batteries.
Le fait de reprendre le dossier « maudit » ne peut pas me faire du bien au niveau sommeil. Je m’endors, me réveille, n’arrive plus à me rendormir à 5h du matin… Bref, zone d’inconfort.
J’essaie d’avancer pas à pas, de me protéger quand même pour être en forme à la date fatidique.
Relire une grande partie de mon dossier, me remémorer mon combat, voir à quel point je me suis débattue, et qu’aussi mon employeur profitait de ma faiblesse due à ma maladie pour porter ses coups… et en plus de tout cela l’incapacité de la justice à gérer cette affaire (sans parler des avocats uniquement préoccupés par le montant de leurs honoraires et l’encaissement de suite à titre de provisions, les premiers rendez-vous payés cash contre aucun conseil et pas de suivi !).
Je suis comme cette rose photographiée il y a deux jours dans mon jardin public, une survivante, malgré les intempéries, la serpe des jardiniers… je survis !
Je ne comprends pas et ne comprendrai jamais comment certains peuvent faire ainsi fi de leur travail et de leurs responsabilités : les juges d’instruction qui ne répondent pas aux courriers, les policiers qui n’exécutent pas les commissions rogatoires, les experts psy qui ne rendent pas aussi leurs rapports, comme si tous s’étaient concertés, que tous avaient peur que la vérité n’éclate au grand jour comme une bombe.
Et dire qu’on ose me en plus dire qu’à l’heure actuelle il ne sera pas possible de s’occuper de mon dossier parce que, vous voyez, la police est mobilisée par la chasse aux terroristes. Ben voyons ! Et pendant toutes les années qui ont précédé, elle ne l’était peut être pas ?
J’ai relu une grande partie du dossier, rien qu’en travers, en me disant qu’il y avait quand même une belle omerta, et que dans une affaire quand il y a eu des fautes commises, tout le monde par la suite essaie de les dissimuler.
Un médecin me l’a dit, ils voudraient tous que j’abandonne… sauf que si j’ai décidé de continuer à vivre, c’est pour que justice soit rendue, et que les « minables » qui ont transgressé les lois, soient punis !
Un conseil juridique m’a dit que je pourrais mettre en cause la responsabilité de l’Etat par exemple pour défaut de réalisation de commission rogatoire. Après on s’étonne que les terroristes ont pu ainsi « s’épanouir » à notre nez et à notre barbe, si des dossiers restent sous des coudes.
Et qu’on ne me parle pas de manque de moyens ? ou alors il faut tout revoir dans l’organisation de la France, la répartition des budgets, des effectifs, des procédures. On paie assez d’impôts, il me semble, non ?
Que la force soit avec moi !