Silent Sunday #273
08 dimanche Avr 2018
Posted animaux, art, cuisine, décoration, jolie boutique, photographie
in07 mardi Mar 2017
Posted actualités médias, cinéma
inDimanche soir, ainsi que je l’annonçais, je suis allée voir Lion au cinéma. Ce film avait 7 nominations aux Oscars 2017, mais il n’en a raflé aucun, en concurrence avec « La la Land » et « Moonlight ».
Pourtant, j’ai vraiment aimé ce film, qui est tiré d’une histoire vraie, le récit d’un petit indien qui se perd, et qui se retrouve dans un orphelin. J’ai eu peur qu’il lui arrive pire dans les rues de Calcutta où il s’est égaré.
L’orphelinat a essayé de retrouver sa famille, mais en vain, et c’est une famille australienne qui l’adopte. Devenu grand, le beau jeune homme essaie de retrouver ses racines grâce à Google Earth pour retracer son parcours en train, avec la vitesse du train, la direction.
Pour moi, ce film pose le problème de l’adoption. L’enfant en fait prononçait mal le nom de sa ville d’origine. C’est très à la mode parmi les grandes stars des US d’adopter des enfants d’Afrique et d’hier, mais qui sait si ces enfants n’ont pas été « arrachés » d’une façon ou d’une autre à leur famille.
Même si la famille australienne lui a offert tout l’amour possible, le jeune homme veut quand même retrouver sa maman.
Mo, qui suis assez sensible, je n’ai pas pleuré, j’ai peut être eu les yeux quand même un peu humides. Les paysages indiens, bien qu’enlaidis par la pauvreté, et australiens (les plages), sont magnifiques.
J’ai craqué pour le petit garçon qui joue le rôle avec ses grands yeux noirs. il s’appelle Sunny Pawar. On a envie de le prendre dans ses bras et de le consoler. (voir ici, les chaussures qu’il portait à la cérémonie des Oscars).
Ce film est encore à l’affiche, et je vous le conseille. Je ne sais pas quel prochain film je verrai, en effet, j’ai encore une place de cinéma à utiliser jusqu’à fin mars. J’ai vu la bande annonce d’un film avec Florence Foresti (« de plus belle ») qui sort demain et qui me tenterait bien. Je me méfie un peu, car cette humoriste si appréciée a déjà pas mal joué dans ce qu’il est convenu d’appeler des « navets ».
Le titre du film « Lion » est un peu surprenant, car en français, comme en anglais, il signifie « Lion », mais il a une autre signification en langue hindoue.
Autres articles à lire sur ce film :
https://www.justfocus.fr/cinema/critique-de-lion-grand-oublie-des-oscars.html
20 mercredi Juil 2016
Posted anecdote, cuisine, décoration, escapade, gourmandises, Mercredi Gourmand, photographie, régions de France, tourisme
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avis, été, carte, charente maritime, cocktail, conseil, décoration, escapade, expérience, glace, gourmandise, Le Bugatti, menu, mercredi gourmand, photographie, plage, plats, recommandation, restaurant, Tourisme, voyage
Comme je n’étais pas très connectée pendant mon absence du mois de juin consacrée à une cure thermale anti-stress, et une petite prolongation bienvenue pour la vraie détente, car une cure est très fatigante. Le matin on se lève en forme, et on revient des soins complètement cassés comme passés dans une machine à laver !
Cet été, j’ai beaucoup profité des cocktails rafraîchissants, pris en fin de journée, à l’orée de la nuit, pour se détendre en terrasse en bord de plage, cocktail que j’ai souvent pris sans alcool, car les cartes des bars en proposent pas mal.
J’ai bien aimé notamment la décoration de celui du restaurant/bar de plage Bugatti à Chatelaillon-Plage (17 – Charente Maritime), pour sa décoration de fleur d’hibiscus, la grandeur du contenant…
Ce cocktail à base de sirop notamment de lavande, grenadine, était intitulé « Peace & Love ».
J’ai aimé aussi la carte de ce restaurant qui proposent aussi pizzas, crêpes… avec un menu à 19,90 euros, avec entrée / plat / dessert.
En entrée, j’ai pris des bulots :
Ayant du mal toujours à choisir du poisson au menu, j’essaie toujours de choisir d’autres produits de la mer, comme des coquillages.
En plat principal des encornets persillés, très joliment présentés sur ardoise, avec légumes et pommes de terre en petite cocotte.
Il restait le dessert que j’ai pris à l’intérieur, car c’était le jour de la demie-finale de l’euro 2016, la France contre l’Allemagne, et j’ai demandé au serveur si je pouvais la voir à l’intérieur. Il m’a installée très aimablement sur une banquette face à l’écran et à ma fraise melba.
La victoire des Bleus nous a tous ravis, avant de chuter devant le Portugal. J’ai pu profiter de la mi-temps pour faire quelques clichés du coucher de soleil.
La décoration de ce restaurant rappelle la Bugatti dont est issu son nom :
C’est une adresse que je recommanderai pour la qualité de sa cuisine, sa situation en bord de mer, l’amabilité de ses serveurs, l’efficacité de leurs services, le prix, la variété de la carte. On a parfois des surprises avec les restaurants en bord de mer qui proposent une belle vue, mais une médiocre qualité de la cuisine dans les assiettes.
Les coordonnées de ce restaurant facile à trouver en bord de plage :
C’était ma participation au Mercredi Gourmand animé par Anne-Laure T, Sophie Turbigo et Sysy in the city.
03 dimanche Jan 2016
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abus, avocats, conseil, Etat, experts, forme, juge, justice, maladie, motivation, moyens, organisation, police, responsabilité, sommeil, turbulences
Je rentre à nouveau dans une zone de turbulences au niveau juridique. J’ai utilisé cette période de vacances de Noël pour me reposer, pour recharger mes batteries.
Le fait de reprendre le dossier « maudit » ne peut pas me faire du bien au niveau sommeil. Je m’endors, me réveille, n’arrive plus à me rendormir à 5h du matin… Bref, zone d’inconfort.
J’essaie d’avancer pas à pas, de me protéger quand même pour être en forme à la date fatidique.
Relire une grande partie de mon dossier, me remémorer mon combat, voir à quel point je me suis débattue, et qu’aussi mon employeur profitait de ma faiblesse due à ma maladie pour porter ses coups… et en plus de tout cela l’incapacité de la justice à gérer cette affaire (sans parler des avocats uniquement préoccupés par le montant de leurs honoraires et l’encaissement de suite à titre de provisions, les premiers rendez-vous payés cash contre aucun conseil et pas de suivi !).
Je suis comme cette rose photographiée il y a deux jours dans mon jardin public, une survivante, malgré les intempéries, la serpe des jardiniers… je survis !
Je ne comprends pas et ne comprendrai jamais comment certains peuvent faire ainsi fi de leur travail et de leurs responsabilités : les juges d’instruction qui ne répondent pas aux courriers, les policiers qui n’exécutent pas les commissions rogatoires, les experts psy qui ne rendent pas aussi leurs rapports, comme si tous s’étaient concertés, que tous avaient peur que la vérité n’éclate au grand jour comme une bombe.
Et dire qu’on ose me en plus dire qu’à l’heure actuelle il ne sera pas possible de s’occuper de mon dossier parce que, vous voyez, la police est mobilisée par la chasse aux terroristes. Ben voyons ! Et pendant toutes les années qui ont précédé, elle ne l’était peut être pas ?
J’ai relu une grande partie du dossier, rien qu’en travers, en me disant qu’il y avait quand même une belle omerta, et que dans une affaire quand il y a eu des fautes commises, tout le monde par la suite essaie de les dissimuler.
Un médecin me l’a dit, ils voudraient tous que j’abandonne… sauf que si j’ai décidé de continuer à vivre, c’est pour que justice soit rendue, et que les « minables » qui ont transgressé les lois, soient punis !
Un conseil juridique m’a dit que je pourrais mettre en cause la responsabilité de l’Etat par exemple pour défaut de réalisation de commission rogatoire. Après on s’étonne que les terroristes ont pu ainsi « s’épanouir » à notre nez et à notre barbe, si des dossiers restent sous des coudes.
Et qu’on ne me parle pas de manque de moyens ? ou alors il faut tout revoir dans l’organisation de la France, la répartition des budgets, des effectifs, des procédures. On paie assez d’impôts, il me semble, non ?
Que la force soit avec moi !
03 mercredi Déc 2014
Posted cuisine, Mercredi Gourmand, Paris, photographie
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adresse, bonne adresse, boulangerie, céréales, conseil, financiers, gâteaux, mercredi gourmand, pain, Paris, Paris 13e, pâtisserie
Je me promenais non pas sur l’avenue, le coeur ouvert à l’inconnu… (comme aurait chanté Joe Dassin), mais j’étais dans le quartier pour un rendez-vous « pro ». J’avais repéré cette boulangerie à un coin de rue (je les repère toujours d’ailleurs), mais je n’avais pas encore eu le temps d’en franchir la porte.
Vendredi dernier, quand j’y suis passée, j’avais un peu plus de temps, et étant donné mon handicap avec mon entorse, je ne risquais pas de changer de trajectoire entre mon lieu de rendez-vous et le métro.
Cette boulangerie est située au 73 boulevard Auguste Blanqui à Paris 13e.
Je croyais qu’il s’agissait d’une petite boulangerie de quartier, mais j’y ai découvert de petites merveilles, comme cette religieuse au chocolat au glaçage bien brillant qui aurait bien plu à Cyril Lignac :
Bon, le prix n’est pas mal non plu, mais pour manger quelque chose de bon, il faut parfois faire un petit effort.
Il y a déjà de belles bûches en vitrine.
La vitrine intérieure est bien achalandée en gâteaux de toutes sortes.
J’ai remarqué aussi ce gâteau plus frais.
Ce tiramisu framboise qui n’est pas banal.
J’ai remarqué ces pains citrouilles qui me souriaient de toutes leurs dents.
La vendeuse m’a montré cette jolie coupe remportée pour le pain aux céréales.
J’ai pris un gâteau ordinaire, je ne sais plus, pain au chocolat ou chausson aux pommes, mais j’ai remarqué des petites corbeilles de dégustation, et la vendeuse m’a proposé de goûter des petits financiers en boules aromatisés. Et j’ai aimé ! Donc je me suis laissée tenter par un sachet de 150 gr pour 5,70 euros, les financiers sortaient du four, et on peut les garder une semaine.
Elles sont aromatisées à la pistache, à la fraise, au chocolat ou nature.
Je dois dire que j’ai préféré de loin la pistache, mais c’est une affaire de goût.
Je n’ai pas goûté leur pain aux céréales, mais ce sera pour une autre fois !
Alors si vous passez dans le coin, faites-y un petit détour. Il n’y a pas de salon de thé, juste un table à l’extérieur apparemment, dommage. Elle ne paie pas de mine, ne se distingue pas d’une autre boulangerie, mais elle mérite le détour.
L’artisan boulanger qui exprime son art dans cette boutique est Anthony Bosson.
24 mercredi Juil 2013
Posted Actu du blog, actu du jour, cuisine, Mercredi Gourmand
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50 nuances de gris, avis, émission, érotique, blog, conseil, cuisine, douglas kennedy, gourmand, lecture, littérature, pâtisserie, Saint-Honoré
un livre à la place d’un blog, ou un livre pour un blog.
Ptisa en attendant la reprise des « Mercredis Gourmands » nous propose de parler de notre vie « sans notre blog » – mission quasiment impossible, pourtant des jours sans que je poste, cela arrive. Mon blog reste important pour moi, et je ne vous en parlerai davantage au cours d’un prochain article.
Depuis ma cure, j’ai pas mal lu, et heureusement que j’avais apporté avec moi 3 livres, car ils m’ont fait bon usage en fonction du mauvais temps.
En rentrant de cure, je me suis inscrite à la médiathèque de ma ville, ayant appris que l’inscription était gratuite.
J’ai pris trois gros bouquins, donc un Douglas Kennedy, la femme du 5e, que j’ai adoré… encore des nocturnes à ne pouvoir décrocher, en se demandant ce qu’il va se passer au chapitre suivant, un Maître du suspens.
J’ai commencé celui qui relate l’histoire du Taj Mahal (princesse de l’ombre), mais je me perds dans les dynasties, les noms indiens, et cela me gave, ces eunuques, ces esclaves, et ces autres qui se disputent le pouvoir jusqu’à tuer leurs frères, en ne parlant pas de toutes ces femmes dans le harem. Bref, je risque de le rendre samedi sans le terminer.
et il y a ce 3e tome de la trilogie « 50 nuances de gris »: deux femmes m’en ont parlé pendant la cure, à mon grand étonnement. Je pensais que c’était le genre de lecture que l’on lit presque cachée.
J’ai bien fait attention à ne pas l’emmener au solarium à la piscine, je me fais déjà suffisamment bien draguer comme cela, pour lire en plus de la littérature érotique.
Je dois dire que je suis un peu déçue des premières pages. Je pensais que c’était plus croustillant, plus finement amené. Là, les deux héros sont en voyage de noces, alors fatalement, s’il n’y a pas rapprochements alors, ce ne sera pas après. Je n’apprécie pas non plus cette vie luxueuse… cela me semble même plat.
Comme je dois le rendre samedi et qu’il est déjà retenu par un autre lecteur, je ne vais pas insister davantage, et essayer de me procurer le tome 1 : cela me permettra de comprendre davantage « l’intrigue », parce que l’effet « best-seller » s’est produit surtout sur le 1er tome.
Preuve qu’il pleuvait quand je suis sortie, et déjà, pas mal de feuilles qui tombent…
A part cela, côté cuisine, j’ai envie de faire des confitures. J’avais une petite caissette d’abricots, mais j’ai presque tout mangé. J’ai aussi envie d’acheter un « gaufrier », j’ai regardé des livres de cuisine : on peut même fourrer les gaufres, faire des crêpes au carambar (miam) !
Et pour fêter le tout, en rentrant, je suis allée acheter un Saint-Honoré chez le nouveau pâtissier du coin, et comme les juges de l’émission de « qui sera le prochain grand pâtissier ? » (voir mon article ici – vous avez vu, c’est ma favorite Audrey qui a gagné, mon pronostic était bon), j’ai savouré la chantilly, légère, vanillée… le caramel un peu dur, collant aux dents, les choux un peu petits et non garnis de crème pâtissière. Bref, je m’entraîne au cas où une émission de cuisine aurait besoin d’une « goûteuse » !
A ta santé, Anne-Laure !
C’était pour Ptisa qui assure le relais avant la reprise de septembre :