Étiquettes
Calais, carte postale, château, Hauts de France, Nord, paysage, photographie, Projet 52, souvenir, vacances, Wissant
Ma passion pour les cartes postales a disparu au fil du temps, et vu le prix des timbres, on préfère envoyer des SMS avec nos photos.
Pour illustrer le thème, j’ai recherché un éditeur de collages photos (une autre passion à une époque de ma vie), pour vous en façonner :



(merci à PhotoFancy pour leurs modèles).
A part cela, je serai bien repartie avant de re-subir une nouvelle tentative d’arrachage de dents. La dernière fois, j’ai tant hurlé que la chirurgienne maxillo-faciale a dû arrêter et me confier à son collègue en vacances.
Le problème, c’est que malencontreusement, un petite bouteille en verre d’huile de raisin à la truffe blanche m’est tombée sur un gros orteil et cela m’a fait un mal de chien. Evidemment, l’orteil a gonflé et bleui. Comme je reste pas mal à la maison, ces temps-ci, car je suis passionnée par les championnats d’Europe, je ne me suis pas inquiétée, mais quand j’ai poussé jusqu’au parc, en rentrant, une boule s’était formée. Donc, je ne sais ce que je vais faire. La dernière fois qu’il m’était arrivé une mésaventure de ce type, j’avais shooté dans un rocher sur une plage des Canaries, mon médecin n’avait pas jugé utile de faire une radio, ou quoique ce soit, mais c’était un petit orteil…
Voilà, j’en profite pour m’occuper de mon dossier-maudit et d’écrire sur mon blog, j’ai mis en ligne une pétition sur le droit à la défense lors de l’entretien préalable de licenciement ici. Cette semaine sur une page Facebook, deux personnes nous ont dit qu’elles s’étaient présentées sans assistance, et évidemment, l’employeur n’a pas voulu les écouter ou tenir compte des preuves qu’ils voulaient leur présenter, mais l’un d’eux a acté que le salarié a reconnu sa faute !
J’ai écrit deux articles concernant la défense du salarié, dont la nécessité de porter plainte contre vos gentils collègues qui établissent des attestations mensongères en faveur de l’employeur ici et celle de prévenir l’inspection du travail et la forcer à agir, ce qui n’est pas simple, là. J’ai posté les extraits de la Direction Départementale du Travail, reconnaissant mon harcèlement moral, que la justice pénale a voulu démonter, rien qu’en se basant sur les réserves « si les faits sont avérés ». Les magistrats ont considéré que les faits ne sont pas avérés avec une enquête de police complètement bidon, pourtant l’avocate générale était favorable à un complément d’enquête. L’inspection du travail, elle, considère qu’il y a assez de preuves dans le dossier.
Ce qui m’ennuie, c’est que l’été va vite s’enfuir, les arbres en plus avec l’effet de la sécheresse commencent à roussir.
Profitez-en bien. C’était ma participation à l’animation de Chez Ma pour cette semaine :