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Un petit intermède entre mes photos de Disneyland Paris, avec cette participation pour la lettre B du Dico-Citations, avec mes amis de l’Annuaire Pour les Nuls.
A vrai dire, je n’avais aucune citation qui me venait à l’esprit, alors j’ai fait des recherches Google, et j’ai trouvé celle-ci qui m’a bien parlé.
En plus, sur le site de l’Internaute, il en est fait une belle analyse :
Celui qui ne voit pas de limite à ses projets et à sa réussite trouvera une chute à la hauteur de son ambition. A trop vouloir réussir et aller loin, on fini par échouer et revenir à son point de départ. |
L’analyse qui en est faite se rapproche d’Icare, celui qui voulait se rapprocher trop près du soleil et qui finit par se brûler les ailes.
J’aime bien aussi cette remarque :
Quand tu montes à l’échelle, souris à tous ceux que tu dépasses, car tu croiseras les mêmes en redescendant.
Ces citations/proverbes donnent à méditer, une philosophie de vie. Je ne peux bien sûr ne pas penser à mon directeur qui se voyait arriver au plus haut de la hiérarchie, et qui, lui, a oublié de sourire à ceux qu’il a dépassé ou à ceux dont il s’est servi pour arriver.
Il arrive aussi dans des entreprises que l’on nomme des personnes à des postes où l’on sait fort bien qu’ils se casseront la figure, histoire de s’en débarrasser. Le monde du travail est décidément une jungle.
Donc, ne jamais se surestimer !
Bravo pour le choix de tes citations, elles me parlent beaucoup!!!
J’ai publié ton lien sur l’annuaire, mais hélas d’ici une heure je fais déjà le nouveau 😉
Quoi qu’il en soit merci de tes participations on te sent toujours très appliquée et impliquée 😉
Bisous et douce journée.
Domi.
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bonsoir Ava !
c’est en effet une citation à méditer
je te souhaite une belle soirée
bisous
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c’est bien vrai ce que tu dis là, mais combien sont-ils dans ce cas ? je parle de ton directeur… oui le monde du travail est un milieu de requin.
l’origine du travail résume assez bien la chose, je trouve
« Notre mot « travail » vient du bas latin « tripalium », lui même issu du latin « tripaliare » signifiant « contraindre ».
Ce « tripalium est composé du préfixe « tri », trois, et « pag » ou « pak » [1] signifiant « enfoncer », comme dans « pak-sla »[2] « pak-slos »[3], désignant un pieu.
Ce « tripalium », qui est donc un instrument de contrainte ou de torture, laisse ainsi entendre le « travail » comme étant effectué de force, à l’instar de l’activité de l’esclave.
Le mot « travailler » nous vient par là, via le moyen âge, du latin courant « tripaliare », contraindre avec le « tripalium »
on assimile donc le travail à la torture. »
c’est très représentatif 🙂
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oui, je connaissais l’analyse du mot travail ! pour beaucoup c’est une torture, et cela ne devrait pas l’être, malheureusement il y a eu toujours beaucoup de petits chefs, ou d’autres qui utilisent le pouvoir à d’autres fins !
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ahhhh le pouvoir des petits chefs, vaste débat !!!!!
j’ai eu l’occasion d’être confronté à ça, mais comme je suis du genre « électron libre » ça à fait des étincelles 🙂
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Malheureusement, la direction leur donne souvent raison…
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oui, un jour mon directeur m’as dit quand je me plaiganis de mon chef « tu as raison, mais un cadre supérieur ne dénigre pas un autre cadre », CQFD
mais le chefaillon en question s’est fait viré comme un malpropre quand même….comme quoi…:)
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oui, mais c’est rare, en général, en effet la direction soutient ses cadres… jusqu’au jour où elle finit par les virer ! Ils attendent toujours la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
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maintenant tout dépens ce que tu fait comme travail, moi je peux me permettre de leur dire « Salut je me casse », ça aide pas mal, mais il ne faut pas se laisser faire, surtout si tu estime que le chefaillon va trop loin….
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hum, j’ai connu des histoires où malheureusement le chefaillon était soutenu !
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C’est bien vu Ava ! J’aime !
Bonne toute fin de ce jour à toi,
Amicalement.
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Merci Colette, j’ai vu que tu avais déjà posté ton Arsène, le mien est en préparation !
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Moi je lui donne raison à Icare , et certains enfers valent mieux que les paradis auxquels on veut monter.
Faust aussi avait raison … chuter pour prendre de la hauteur. Le dépassement de soi, ça seul vaut la peine, je trouve.
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ah ah, un kamikaze est parmi nous !
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Non, un rêveur … enragé.
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ben oui, mais je te comprends, tu as raison…
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